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« Plouf dans l'eau Hadopi : on danse sur le monde en morceaux ! | Page d'accueil | Une lecture pour le week-end : le supplément Alternatives économiques sur la RSE »

10 novembre 2009

No low cost : apprendre à mieux consommer

Un livre de Bruno Fay et Stéphane Reynaud sur l'imposture du low cost. Le blog du livre.

"Le low cost se traduit le plus souvent par une logique folle de réduction des coûts à tout prix au détriment de la qualité des produits, des conditions de travail des salariés, des emplois et de la sécurité des consommateurs."

Nous avons le choix.

Pour changer le monde, je change ma consommation (et mes lectures).

Bravo Messieurs, je fonce acheter votre livre.

L'acheter en ligne ici.

Commentaires

En théorie, le principe est très vrai. La question est. 100% des consommateurs "low cost" ont-ils le choix ? La réponse est toute trouvée. Moralité, débattre de ca n'a pas trop d'intérêt concret...

Écrit par : Seb de CaRéagit | 10 novembre 2009

et non Seb, vous vous trompez de réponse.
Et d'époque. Vous avez une vision de la conso du type des marketeux "madame Michu", la ménagère de moins de 50 ans, les consommateurs "pauvres"...

Nous sommes tous des consommateurs low cost.

On a toujours le choix.
On se gave, on s'endette, on surconsomme, on achète des promos, on se fait rouler par les publicitaires qui créent des besoins que nous n'avons pas.
Notre aveuglement entraîne des effets/conséquences en chaîne sur les conditions de prod, la qualité, notre santé, etc...

Intérêt concret de se poser la question de ce qu'on achète, à quel prix, ce qui est compris dans le prix, dans quelles conditions....? Changer le monde, rien que cela.

Écrit par : Quitterie | 10 novembre 2009

@ Quitterie

Perso, je change de lecture... et d'écriture, puisque je passe du gros livre au petit et de l'imprimeur ordinaire à l'imprimeur cioopératif et bio. Je cours lire ce livre que tu conseilles, parce que moi aussi, j'ai envie de changer le monde.

Écrit par : Hervé Torchet | 10 novembre 2009

Bonjour Quitterie,
Content de te revoir sur la blogosphère, ta présence manquait.
Moi aussi je suis sceptique sur le low cost : ça m'intéresse, ce livre. Je crois que je vais l'acheter aussi !

Écrit par : l'hérétique | 10 novembre 2009

Je rejoins un peu Seb. Je suis méfiant à l'égard de la notion de low cost, parce qu'elle induit un mode de consommation à deux vitesses. Mais il est vrai que ces deux (ou plus) vitesses existent, low cost ou pas.

Il faut expliciter les sous entendus derrière la notion de low cost.

Écrit par : Eric | 10 novembre 2009

Un retour en beauté Quitterie, et c' est tant mieux :)

Écrit par : Martine | 10 novembre 2009

Oui Eric, dès que j'ai deux minutes.

@ tous : merci pour vos commentaires. Ravie de vous retrouver ;-) !

Écrit par : Quitterie | 10 novembre 2009

@Quitterie

Bon retour à toi

Lolo

Écrit par : Laurent Haddad | 10 novembre 2009

Tout comme l'Hérétique, Quitterie, nous sommes contents de vous revoir sur le ouueeebb! Ca manquait.

Parfaitement d'accord avec vos propos. Il y a d'ailleurs une vieille maxime populaire (rien à voir avec un parti actuel) qui disait :

"Le bon marché finit toujours par coûter plus cher".

Un simple exemple : Les parapluies.

Combien de fois avons nous pu constater cette maxime deux jours ou trois après avoir acheté un de ces parapluies low cost fabriqué à l'autre bout de la planète et qui se retourne à la première raffale et dont les baleines se brisent après une dizaines de manipulations!

Écrit par : Alcibiade | 10 novembre 2009

Tout d'abord merci à Hervé qui a laissé un commentaire sur Citoyens du Frontonnais avec un lien vers cette note et ... heureux d'une part du retour de Quitterie, ça commençait à faire long cette absence (!!!) et heureux que ce sujet soit traité. Cela a fait notamment débat du côté de VILLEMUR-SUR-TARN avec les gaulois de MOLEX (voir note : http://www.citoyensdufrontonnais.com/archive/2009/09/29/9ef671cbf2bb8dab125b723a1cc42ac9.html )
Low-cost, produits à bas pris, à bas coût achetés par une population, entre autre, qui se retrouve licenciée car leur usine est délocalisée dans les pays de l'Est voire en Chine où le faible coût de la main d'oeuvre permet la vente de ses fameux produits low-cost .......
on tombe sur la tête !
à bientôt
Franck

Écrit par : Franck LC | 10 novembre 2009

Content de te retrouver aussi ! Avec un thème intéressant en plus !
Quelle coïncidence, j'aborde un thème similaire sur mon blog : http://jerome.laparis.eu/?p=847
A bientôt !

Écrit par : Jérôme | 10 novembre 2009

Euh... Désolé, mais je voulais dire que je n'étais pas d'accord avec Seb... Je n'avais pas vu le "No" devant Low cost... (Mon premier commentaire est donc plus logique, peut-être)...

Écrit par : Eric | 10 novembre 2009

Il suffit d'observer ce que les gens ont dans leur caddy - les rares fois où je vais dans une grande surface française pour acheter du papier-cul, j'observe...

Terrible, les "besoins" qui ont été créés et suggérés par la Grande Distribution, de la merde au prix fort, ce sont eux qui s'enrichissent sur le dos des consommateurs dociles et construisent un hyper-marché après l'autre hors de France avec l'argent des consommateurs français qu'ils plument allègrement.

Je vis en Allemagne et là les prix sont depuis plus de 30 ans plus bas qu'en France alors que les revenus ont toujours été plus haut... parce qu'il y a des associations de consommateurs fortes, citoyennes, disposant de moyens pour faire pression...

Et puis, en France, on n'a jamais fait de débat sur la délocalisation bénévole organisée par la consommation des citoyens...

En achetant par exemple une paire de chaussettes à 1 € - qui seront foutues dans quelques semaines et que l'on jettera pour en acheter une autre paire "puisqu'elles sont bon marché", on envoie gaiement l'emploi de ceux qui les fabriquent en Chine. Tout simplement.

Jamais ce débat de fond n'a eu lieu en France, aucune prise de conscience.

Dans d'autres pays, on achète de la qualité, par exemple pour les chaussettes, elles sont plus chères certes, mais on les garde plus longtemps, on les reprise si nécessaire, car on connaît la valeur des choses et des emplois qui y sont liés.

Le consommateur-citoyen, c'est LUI et non "les patrons" qui décide des délocalisations. Car si un "patron" ne peut plus vendre à des prix lui permettant d'exister, il doit mettre la clé sous la porte ou faire produire les biens dans les pays où la main d'oeuvre est moins chère.

C'est ainsi que le consommateur-citoyen soutient l'asservissement des travailleurs chinois, enfermés dans des usines où ils sont surveillés par des gardes-chiourmes, où ils ont juste le droit de sortir pour aller aux toilettes, et où ils dorment dans des hangars sans confort, bien à portée de mains de leur employeur...

C'est la réalité vécue par des milliers, sinon des millions de gens, parce que le consommateur-citoyen français refuse de regarder les réalités en face et ne pense qu'à LUI...

Merci Quitterie...

Écrit par : Danièle Douet | 11 novembre 2009

Mais les auteurs du livre commencent par exposer ce qu'est un vrai low cost utile et même fécond, qui existe et qui sert d'alibi au second, qui n'est qu'une manière de presser le tube jusqu'au bout.

Écrit par : Hervé Torchet | 11 novembre 2009

Accessoirement, le chantre du low cost, en France, est Charles Beigbeder, qui figurera sur la liste UMP d'Île de France pour les régionales.

Écrit par : Hervé Torchet | 11 novembre 2009

Le Low cost est en théorie superflue, de même que nous n'avons pas besoin de baser autant notre mode de vie sur la consommation.
Néanmoins, en pratique, come le remarque seb il faudra plus qu'un livre (et je le trouve très bien ce bouquin) pour briser l'influence des "marketteux" sur les ménages modestes et leurs réflexes consuméristes "inertiels"...

Un parti politique, crédible, est indispensable pour faire vivre ce genre d'idées.
Le travail est encore pour l'essentiel, à faire, en somme car pour l'instant, si je suis l'idée de l'article et des commentaires on (=les gens ici) est plus dans une démarche de prise de conscience.

Écrit par : Florian | 11 novembre 2009

"on se fait rouler par les publicitaires qui créent des besoins que nous n'avons pas"

C'est très juste, mais qui donc bosse dans une agence de pub ? Quelle est la mission de la société Heaven sinon de pousser à la consommation en créant des besoins que nous n'avons pas ?

Il faudrait fermer Heaven et toutes les agences de pub, pour rendre au peuple ses véritables besoins. Cela ferait aussi baisser le prix des produits : plus de pub à payer quand on achète un produit essentiel.

Militons contre le monde des publicitaires, les vrais ennemis du peuple et du bien-être !

Écrit par : La Palisse | 12 novembre 2009

"Militons contre le monde des publicitaires, les vrais ennemis du peuple et du bien-être !"

Balivernes...

C'est NOTRE consommation et notre EDUCATION des enfants depuis l'âge de 2 ans au moins qu'il faut changer...

Et là, chaque CITOYEN est un acteur impliqué...

Pas besoin de jouer aux St Just...

La Palisse, commencez donc par vous-mêmes et les vôtres, cela changera tout votre environnement... et le monde...

Écrit par : Danièle Douet | 12 novembre 2009

Ceux qui veulent en savoir plus sur l'activité de Quitterie elle-même au service de la meilleure consommation et du développement durable peuvent écouter la deuxième partie du deuxième podcast que je mets ici en lien :

http://www.neo-planete.com/2009/11/04/radio-la-solidarite-2-0/

Écrit par : Hervé Torchet | 12 novembre 2009

Personne n'en doute, Monsieur Hervé Torchet.

Il serait, néanmoins, plus éthique, de mener cette action dans une association, qu'en servant de caution éthique à une agence de pub, qui par ailleurs pousse à la consommation et invente des besoins.

Les agences de pub sont des parasites, qui grèvent le budget des ménages.

Il y a assez d'associations qui défendent le développement durable, que personne ne peut accuser de se servir financièrement au passage, contrairement à Heaven.

Dans "business vert" il y a "business", certains l'ont bien compris.
Quand il y a business, l'éthique véritable passe vite au second plan.

Peut-être qu'Heaven défend ici les marques contre les produits Low Cost sans marques ? Qui croire dans une agence de pub ? La pub est le monde du mensonge, la plaie de notre époque.

Toute la situation tragique, économique et écologique, du monde actuel est le résultat de la société publicitaire.

Madame Quitterie le dit très bien :

"on se fait rouler par les publicitaires qui créent des besoins que nous n'avons pas"

Virons les publicitaires, ces agents de la tromperie ! Ils sont pires que les politiques. Les politiques ne sont que leurs marionnettes.

Le diable n'est-ce pas la pub : "tu croqueras dans la pomme, je le veux" ?

Écrit par : LPL | 12 novembre 2009

Ce qui est important, c'est que la bataille soit gagnée par la bonne consommation. Il appartient à ceux qui ont le choix de leur consommation de favoriser les produits sincères et durables, c'est le projet que défend Quitterie.

Plus elle aura permis aux annonceurs d'améliorer leur sincérité, et aux supports de sélectionner les produits authentiquement éthiques et responsables, plus elle aura gagné de parts de marché, et plus elle aura contribué à changer le monde et à l'améliorer. Bravo Quitterie.

Écrit par : Hervé Torchet | 12 novembre 2009

@LPL,
Comment vraiment connaitre un milieu, sans avoir quelque part, sous une forme ou une autre le pied dedans?
Et les assos, très infiltrées par le monde politique et qui dépendent des financements, donc "same same"...
@Hervé,
Vraiment, vous etes maladroit sur certains sujets, vraiment vraiment combien de fois va-t-il falloir que je vous "espique"?? Vous m'agacez "grav" parfois, cantonnez vous à ce pourquoi vous avez un don, ainsi que vous aiderez le mieux! Grrrr, pfff pft pfutttt! :)

Écrit par : Martine | 12 novembre 2009

@ Martine "Et les assos, très infiltrées par le monde politique et qui dépendent des financements, donc "same same"..."

Absolument d'accord avec vous.

Je vous invite d'ailleurs à lire le - long - article sur Médiapart où j'évoque les FONDATIONS:

http://www.mediapart.fr/club/blog/etoile66/040109/la-france-et-les-fondations-triste-constat

et les commentaires...

Il est en lecture libre.

Écrit par : Danièle Douet | 12 novembre 2009

À propos de pub intempestive, il y a des popup Google attachés aux widget, je trouve ça scandaleux.

Écrit par : Hervé Torchet | 13 novembre 2009

bon retour Quitterie !!
tout est et restera question de choix personnel ...
low cost, low achat, low tout ce que l'on voudra, nous avons un intérêt majeur à éduquer l'autre, les autres, les nôtres... il faut "trier les déchets de la conso" dès le départ... mais en fin de compte qui encore à les moyens ?
amitiés
Doume

Écrit par : Doume | 17 novembre 2009

Puisqu'il peut de nouveau y avoir des lecteurs passant sur le blog de Quitterie, je signale que j'ai placé sur le mien la toute récente vidéo dans laquelle Quitterie se confie à la web télé Terre Tv.

Écrit par : Hervé Torchet | 19 novembre 2009

Voilà un sujet qui me semble réellement fondamental, peut-être à aborder sous diverses approches:

1) Je suis un consommateur. Si j'ai peu de moyens, naturellement, je vais chercher à acheter de façon générale le moins cher possible - ce qui au passage est une erreur, car en fait je devrais chercher à acheter le meilleur marché possible (en tenant compte de la qualité, car pourquoi acheter 5 litres de peinture pour 10 euros, si je dois passer 5 couches?!).

En revanche, si j'ai vraiment très peu de moyens, pour les besoins essentiels tels que la bouffe, je ne peux pas me permettre d'acheter bio... Ce que je mange n'a pas de goût? Tant pis, je n'ai pas le choix, je suis obligé de m'en contenter. Et je ne pense pas à l'écologie, car je n'ai pas les moyens d'y penser...

2) Je suis un producteur. Mon intérêt est tout naturellement de faire baisser mes coûts de production au maximum, pour pouvoir vendre le moins cher possible tout en faisant de la marge (le cas le pire c'est si j'ai une centrale d'achat sur le dos...). Forcément, je suis tenté de payer mes salariés au SMIC (allez SMIC + 10% pour ceux que je ne veux pas perdre), et tout ce que je peux externaliser dans des pays "low-cost" c'est autant de gagné. Mais encore une fois, le moins cher n'est pas le meilleur marché car si les produits que je reçois ne passent pas le contrôle qualité, je vais me retrouver en conflit avec mon sous-traitant qui fait travailler ses gars à un euro de l'heure, je n'aurai plus les produits dont j'ai besoin, bref je vais être dans la mouise la plus totale.

Tout ça pour dire que quel que soit le point de vue, il faudrait au minimum remplacer la notion de "low-cost" par celle de "meilleur marché", ce "meilleur marché" tenant compte de la qualité du produit.

Il reste néanmoins 2 problèmes à résoudre:

- si je crève de faim et que je suis sans le sou, je n'ai pas le choix, il me faut impérativement du "low-cost" pour manger. C'est juste une question de survie,

- si j'ai peu d'argent, et que je veux faire comme mon voisin ou comme certains me le promettent, je veux me payer un super écran plasma fabriqué je ne sais où - à prix complètement cassé -, où un voyage en avion au bout du monde pour 3 francs six sous. Dans les deux cas, je commets une grosse bêtise: mon écran plasma risque de s'éteindre définitivement bien plus vite que je ne le pensais, et mon avion (ça coûte cher la maintenance des avions) risque de se casser la figure...

En conclusion, hors pour ce qui concerne les besoins vitaux, je crois que ce qui nous manque aujourd'hui c'est la notion de "classes" dans notre société. On essaie de faire croire à tout le monde que tout est accessible, l'essentiel comme le superflu. Mais à quel prix?

Écrit par : JF le démocrate | 19 novembre 2009

bonjour
intéressant billet..
pour répondre au précédent commentaire, je dirais que parfois on est persuadé que cela va nous couter plus cher la qualité, mais il existe parfois des alternatives pas forcémment plus coûteuses (ex: panier bio amap) ou que l'on peut parfois changer sa façon de consommer: acheter plus de produits bruts à préparer soi-même et moins industriels, acheter moins de viandes, acheter à côté de chez soi...etc.
Alors certes si on prends le cas de qqun qui a vraiment bcp de soucis financiers, cela ne sera pas sa priorité d'acheter bio...
Mais je constate cependant autour de moi que bcp de personnes ont les moyens de choisir mais pour je ne sais quelle raison focalisent sur les prix bas (promos..etc), achètent en quantité pr faire des économies, au détriment de la qualité des aliments... (tout en se payant appart, maison, voiture ou vacances...etc).
bref je considère que cela devient urgent désormais que les personnes qui ont le choix de devenir consommateur responsable... pour influencer la société dans le bon sens...
Même si on n'est pas toujours parfait.. si on fait la démarche tous à titre individuel, on finira par avoir un impact.

Écrit par : HasardDuJour | 21 novembre 2009

@ Hasard du jour

Il est clair que si c'est pour se payer du superflu au détriment de l'essentiel, il faut jouer la carte bio et surtout écologique. Car le superflu doit toujours passer au-deça de l'essentiel. Et j'en reviens à cette notion de "classes" que l'on a voulu gommer, au risque de faire croire à tout le monde qu'il peut se payer n'importe quoi.

Mais il existe aussi des personnes, malheureusement, qui vivent en dessous du seuil de pauvreté. Point n'est pour eux l'ambition d'acheter un appartement ou se payer des vacances, sauf rêves promus par certains (et à ce titre, j'y assimilerai volontiers les jeux de hasard qui rapportent tant à l'Etat). Le rêve est entretenu par certains, qui y trouvent leur propre avantage, alors que les priorités essentielles sont parfois délaissées. A moins de tomber dans le surendettement via tel ou tel organisme de crédit, avec à terme les connaissances que l'on connait tous.

On ne peut, je crois, à ces catégories de personnes (et malheureusement elles sont de plus en plus nombreuses) demander d'acheter écologique. Dans un premier temps, je crois qu'il est surtout nécessaire de les désintoxiquer des "marchands de rêve", même si la retombée sur Terre peut parfois être difficile.

Écrit par : JF le démocrate | 23 novembre 2009

@ JF

Je crois au contraire qu'on peut leur demander de consommer écolo, si la fiscalité permet de rétablir la vérité des prix : ce qui est moins cher à l'achat l'est souvent en sacrifiant soit la vie du travailleur producteur, soit l'environnement et les générations futures. Si la fiscalité permet d'intégrer ces deux aspects dans les prix, et si dans le même temps les produits sains sont détaxés, ce sont les bons produits qui deviendront les moins chers. C'est donc affaire de volonté politique, ne pas vendre du pseudo-bio au produit de l'or, vendre du vrai bio à son vrai prix, troquer l'exploitation d'un filon contre uns consommation responsable. Ce n'est pas seulement l'affaire des consommateurs, c'est aussi celle des pouvoirs publics.

Écrit par : Hervé Torchet | 23 novembre 2009

dsl lire "ne pas vendre du pseudo-bio au PRIX de l'or" et non pas produit. Pfff fatigue.

Écrit par : Hervé Torchet | 23 novembre 2009

Bon retour. Enfin une bonne nouvelle.

Ah oui le Low cost: la France d'en bas n' pas toujours le choix économique notamment sur la bouffe chez certains Hard discounter...eux ne prennent pas l'avion chez easy jet pour se faire une semaine à 250 E au Maroc tout compris.

Le consommateur a aussi sa part de responsabilité puisqu'il veut payer sans arrêt moins chère. L'idéal serait de plus consommer donc.

Écrit par : Orange Sanguine | 26 novembre 2009

J'ai un scoop :

Quitterie va bientôt s'engager pour mener la guerre en Afghanistan.

Son barda est prêt, ses Rangers, son Famas.

Elle répond à l'appel du Président Obama, qui demande à la France d'envoyer des soldats supplémentaires.

Elle nous a tellement expliqué qu'Obama était un mec formidable qui allait tout changer en bien, elle ne peut pas le laisser tomber maintenant.


Les autres participants bisounours à la soirée démocrate préparent aussi leur barda, non ?

Vous avez aimé la guerre avec Kennedy ? Vous aimerez la guerre avec Barack.

Bienvenue dans le monde réel, les bisounours, qui nous avez cassé les couilles avec votre Obama sauveur du monde pendant un an.

Écrit par : Obama chef de guerre | 01 décembre 2009

Depuis son arrivée au pouvoir, Obama a multiplié par 3 le nombre de soldats combattants en Afghanistan.

Trois fois plus de soldats que Bush !

Il est beau votre pacifiste !

Quand on vous le disait, que c'était un vendeur d'aspirateur de la CIA...

Et la question du jour au JT :

"Obama va-t-il réussir à convaincre Sarkozy d'envoyer plus de soldats faire la guerre ?"

Voilà le champion des Bisounours.

Écrit par : Bisounours s'en va-t-en guerre | 02 décembre 2009

Je suis d'accord avec l'esprit de tes commentaires. Entre gris clair et gris foncé.
Je sais, je sais. On ne m'y reprendra plus.

Écrit par : Quitterie | 03 décembre 2009

@ la pseudo Quitterie et aux commentaires précédents

Quitterie a toujours indiqué qu'elle soutenait Obama pour certaines qualités intrinsèques, bien sûr, mais aussi parce que son adversaire eût été pire que lui. L'adoption d'un programme de Sécurité Sociale sera mise à l'actif d'Obama. Sur sa poltiique étrangère, bien sûr, il pourrait faire plus proche de nos conceptions, mais son adversaire aurait fait bien pire encore. Et puis lui, au moins, il cherche vraiment à attraper Ben Laden.

Écrit par : Hervé Torchet | 04 décembre 2009

Sacré Hervé !

Le gardien du temple, plus royaliste que sa reine,

et le dernier à croire encore à Ben Laden ;-)

Écrit par : Bibine Laden | 05 décembre 2009

Si qq'un passe sur le blog de Quitterie, je vous signale que j'ai posté une petite vidéo de Quitterie sur mon blog, la plus récente, sur les nouvelles solidarités sur Internet, l'intro d'une table ronde qu'elle a animée.

Écrit par : Hervé Torchet | 05 décembre 2009

"j'ai posté une petite vidéo de Quitterie sur mon blog"

La reine dit :

"Avec nos regards d'enfants, le monde ne serait pas ce qu'il est".

Voilà bien le genre de discours bisounours qui m'insupporte chez Quitterie.

Les enfants sont hyper égoistes.

Une cour de récré ce n'est pas vraiment la paix universelle. Il est établi que l'enfant est voleur, menteur, méchant par gratuité, jaloux, possessif, il pratique la torture sans prendre conscience de la portée de ses actes, il agit dans l'instant sans se soucier de l'avenir...

Tous les vices sont déjà dans l'enfance.

Et les baratins altruistes des enfants sont justement ce qu'ils ressortent quand ils les ont entendus dans la bouche des parents, ce n'est pas du tout spontané.

L'enfant est d'abord un appétit, un glouton. En bref : un consommateur.

---

Si Quitterie ne comprend pas cela, toute sa vision politique s'explique :

elle attribue tous les vices à la société, au lieu de comprendre qu'ils sont à l'origine, et que la liberté ne fait que libérer les égoismes.

L'enfant ne nait pas bon, et il n'est pas corrompu par la société.

L'enfant nait consommateur individualiste et possessif.

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Le bébé commence par se précipiter vers sa nourriture, c'est la seule chose qui l'intéresse, et il crie à réveiller toute la maison si on ne lui donne pas à manger au moment précis où il l'exige.

C'est un modèle de société, le braillard qui ramène tout à son besoin personnel ?

La construction de l'adulte sera de quitter le seul appétit qui caractérise l'enfance.

Quitterie est complètement aveuglée par son amour maternel, et ne voit pas l'enfant réel.

D'ailleurs on dit souvent que les dictateurs sont restés des enfants : ils sont dans le besoin immédiat d'avoir quelque chose, ils n'ont pas atteint la maturité de l'adulte.

Écrit par : Regards d'enfants | 07 décembre 2009

@ Regards d'enfants

Vous avez déjà déposé ce commentaire sur mon blog. Je vous suggère donc d'y lire la réponse.

Écrit par : Hervé Torchet | 12 décembre 2009

Barack Obama :

"Nous sommes en guerre".

Un attentat raté, et voilà Obama qui devient Bush.

Une petite soirée démocrate pour fêter la transformation de Barack en George W III ?

Écrit par : Obama chef de guerre | 08 janvier 2010

Je veux juste vous dire merci pour les informations que vous avez partagés.

Écrit par : Tarot Marseille | 03 décembre 2010

Très bon clip, je suis d'accord, mais qui s'en souvient au moment de choisir entre deux produits dans le magasin du coin?
Et comment bien faire ses choix? car il arrive maintenant souvetn que nous n'ayons plus d'autres choix que de faire avec ce que l'on nous propose. Pas simple...

Écrit par : Belline | 26 juillet 2011

Article très intéressant, un grand merci.

Écrit par : grossiste en bijoux fantaisie | 04 novembre 2011

Je veux juste vous dire merci pour les informations que vous avez partagés.

Écrit par : Buy Dell Motherboards | 28 janvier 2013

Władysławowo to znana miejscowosc nadmorska, to bardzo czesto wybierane miejsce na wczasy nad morzem. Posiada kwatery Wladyslawowo blisko plazy oraz ma noclegi Wladysłlwowo najtansze na Polwyspie Helskim. Do portu Wladyslawowo przybijaly statki o łacznej nosno: ponad 350 tys. ton. Wsrod nich jednostki serii B-670, bazy konserwiarnie, ktore w ciagu jednej doby pracy na morzu mogą wyprodukować około pół miliona puszek konserw rybnych. Plywaja tu wielkie promy pasażersko-samochodowe dla armatora szwedzkiego. Statek zabiera 1800 pasażerów w 800 kabinach. Przy ujsciu do morze znajduje się port rybacki Władysławowo , gdzie miesci się rybacka spół­dzielnia poławiająca ok. 25 tys. ton ryb rocznie); budzi podziw stale rozbudowywany port handlowy (przeładunki do 200 000 ton) i port pasazerski. Na dawnym forcie miesci sie latarnia morska z 1907 r. odbudowana po wojnie. Do waznych atrakcji , jaką dają tanie noclegi Wladyslawowo jest przyjemny spacer brzegiem morza.

Écrit par : undorsses | 02 mars 2013