L'équipe "les adhérents sont notre force" en campagne pour les ... municipales ! Pour moi, c'est ça le Mouvement démocrate : regardez-ces visages !

A quoi ressemble une campagne interne de la liste "Les adhérents sont notre force "? A une campagne externe. A une campagne médiatique. A une campagne utile. A une campagne qui montre le meilleur du Mouvement démocrate : son dynamisme, sa solidarité, sa diversité, sa combativité, sa foi laïque inébranlable.

La soirée de jeudi à Paris ne s'explique pas avec des mots. Elle se ressent. Elle se vit. Et surtout elle ne s'oublie pas. Elle doit rester gravée dans nos coeurs. Comme de ces instants privilégiés de la vie politique. Un journaliste présent a dénombré 150 personnes tout au long de la soirée. Je sais que nous sommes les seuls aujourd'hui à pouvoir réaliser cet exploit. Je suis fière de vous et vous remercie.

Toutes les autres photos ici. Merci Franck et Fabien ! Bravo pour cet excellent reportage !

Cafe? de?mocrate : Les adhérents sont notre force !
envoyé par ben3002

Les autres points de vue sur la soirée :

Celui de Mickael Silly :

Café des Démocrates - 10 janvier 2008 au Pavillon Baltard

Jusqu'aux étoiles ! la dynamique est en marche et ne s'arrêtrea plus.  Je n'étais pas allé aux trois derniers Café Démocrates et bon sang quel changement !!! en trois mois l'impulsion donnée par Quitterie Delmas a eu des effets retentissants : des initiatives et des militants (Assas Démocrate, 3R, Pierre Creuzet, Nadia Falfoul...) sont venus se crystalliser autour de son projet et de sa "profession de foi". En point de mire l'élection des représentants du Conseil National du Modem le 18 janvier prochain ; l'enjeu, très bien rappelé par Franz Vasseur hier soir, peser le plus possible sur les orientations stratégiques du Modem, avec comme fil conducteur et principe suprême : appliquer à nous même l'exigence démocratique que nous souhaitons pour la France (principe sorti d'un groupe de travail d'un Café Démocrate en juin dernier, tiens, tiens...). Que faire à mon humble niveau : associer bien sur le Modem de Saint-Germain en Laye aux actions menées par Quitterie Delmas. tiens, d'ailleurs, j'y vais de ce pas...

Celui des Citoyens démocrates :

Jeudi soir, près de 150 personnes de toute l'Ile-de-France se sont retrouvés dans le haut-lieu de la blogosphère parisienne, qu'est le Pavillon Baltard, pour un Café démocrate.

Candidats de la liste "Les adhérents sont notre force !", adhérents soutenant notre liste se sont succédés au micro. Quitterie Delmas a tenu à présenter chacun d'entre eux. Ils ont fait part chacun à leur façon, plus ou moins assurée, leurs parcours personnel ou politique et des raisons qui les ont amené à rejoindre l'équipe des "adhérents sont force !" que conduit avec talent et brio Quitterie Delmas.

Comme à Bobigny, on trouvait l'énergique Pierre Creuzet, les prometteuses Nadia Falfoul et Karima Bouache, le sérieux Christian Delom, le sympathique Ali Menzel, mais aussi Clément Le Ricousse, Christophe Bertin, Alexandre Tissot, Domitille Marbeau.

Jérôme Charré, blogueur vedette de Seine-Saint-Denis, a exprimé son "amitié" pour Quitterie qui a apprécié, Hugues de Poncins, venu des Yvelines, a évoqué le souvenir d'une des toutes premières réunions de Quitterie parmi les jeunes de l'UDF, MiP a parlé d'un ton enjoué, ainsi qu'Hélène de Vecchy, autre colistière adhérente du XIVe arrondissement où Marielle de Sarnez est candidate.

Le lettré Hervé Torchet a expliqué en quoi Quitterie lui avait redonné le goût de la politique. Le directeur de campagne local de Marielle de Sarnez figure aussi sur notre liste. François Vitse, candidat à Alfortville, a dit trois ou quatre mots sensés. Fabien Engelibert, candidat à Ivry-sur-Seine, peu habitué aux micros, a tenté de dompter le sien et y est parvenu. Et d'autres, beaucoup d'autres, avec cette simplicité et cette chaleur que l'on sent chez la plupart des adhérents du MoDem, sont venus et ont dit des choses importantes.

Plusieurs journalistes étaient également présents. Ils ont interrogé Quitterie, Nadia, Hervé et quelques autres. Franz Vasseur de la liste "Ile-de-France en mouvement" a expliqué les enjeux de l'élection au Conseil national, dont le besoin de peser le plus possible sur les orientations stratégiques du MoDem. Aussi, l'un des fondateurs d'Assas démocrate nous a parlé de son association, il a invité Quitterie au Café Assas démocrate du 9 février prochain.

Enfin, Quitterie Delmas s'est exprimée à plusieurs reprises sur des aspects qui lui tenaient à coeur, comme le renouvellement des générations et des pratiques, le souhait de faire du Mouvement démocrate, le mouvement de l'alternative. Elle a remercié chacun des participants.

Celui de Jérôme Charré :

Café démocrate au Pavillon Baltard

Les candidats et les partisans de la liste "Les adhérents sont notre force !" menée par Quitterie Delmas, ainsi que quelques indécis, s'étaient rendus nombreux, hier soir, dans ce haut-lieu de la blogosphère francilienne qu'est le Pavillon Baltard.

Quelques candidats et adhérents soutenant notre liste se sont exprimés au micro. Chacun a fait part, de manière plus ou moins préparée, des raisons qui font qu'ils se retrouvent complètement en phase avec le projet proposé par la liste "Les adhérents sont notre force".

Pris un peu au dépourvu, j'ai très succintement résumé mon parcours, expliqué en quoi le MoDem m'avait rattrapé. J'ai également tenu à témoigner de mon amitié envers Quitterie, mais également de ce qui m'a convaincu de rejoindre cette belle liste qui est à l'image de notre mouvement, dans sa diversité, dans ses motivations, ses valeurs et ses envies.

De plus, je considère que plus qu'un simple empilement de noms, comme l'on peut en trouver parfois, nous constituons une véritable équipe.

Quitterie Delmas s'est exprimée à plusieurs reprises sur des aspects qui lui tenaient à coeur, avec sincerité. En ce qui me concerne, je suis très fier de figurer sur la liste "Les adhérents sont notre force !" aux côtés de Quitterie, de militants de terrain récents ou plus anciens, jeunes ou moins jeunes, venus de l'Ile-de-France.

Jérôme Charré

Celui d'Hervé Torchet :

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Les candidats de la liste "Les adhérents sont notre force", conduite par Quitterie Delmas, s'étaient déplacés en nombre les premiers. Comme à Bobigny, on trouvait Pierre Creuzet, l'élan, Nadia Falfoul, la gravité (se plaignant des pressions qu'elle subit désormais mais auxquelles elle fait face avec détermination), Christian Delom, l'exigence, Ali Menzel, l'énergie, mais cette fois-ci de très nombreux autres colistiers s'exprimèrent, même moi (deux fois, la deuxième parce que j'avais oublié de dire que je soutenais Quitterie Delmas en particulier, ce qui était pourtant le plus important), en telle quantité qu'il m'est difficile de citer tout le monde.

Karima Bouache a repris certaines des idées qu'elle avait développées à Bobigny, Jérôme Charré, blogueur vedette du 9-3, a exprimé son "amitié" pour Quitterie qui a apprécié, Hugues de Poncins, venu des Yvelines, a évoqué le souvenir d'une des toutes premières réunions de Quitterie parmi les jeunes de l'UDF (donc vers 2003 j'imagine), MIP a parlé d'un ton enjoué, ainsi qu'Hélène de Vecchy, autre colistière adhérente du XIVe arrondissement où Marielle de Sarnez est candidate. Le directeur de campagne local de Marielle figure aussi sur la liste de Quitterie. François Vitse, candidat à Alfortville, a dit trois ou quatre mots sensés. Fabien Engelibert, candidat à Ivry, peu habitué aux micros, a tenté de dompter le sien et y est parvenu. Et d'autres, beaucoup d'autres, avec cette simplicité et cette chaleur que l'on sent chez la plupart des adhérents du MoDem, sont venus et ont dit des choses importantes.

J'ai été happé par une journaliste qui réalisait un reportage et qui voulait m'interroger sur Quitterie, si bien que je n'ai pas entendu Christophe Bertin témoigner de la mutation des UDF historiques en modémistes précurseurs, ce qu'il a dû faire parfaitement.

J'en oublie. Ils me pardonneront.

Et on a même donné la parole à Frantz Vasseur, qui a pu témoigner pour une autre liste, "Île de France en mouvement".

Quitterie, très en forme, a prononcé trois ou quatre longues allocutions, chacune sur un aspect de ce qui lui tenait à coeur. J'étais assis juste devant elle, admirablement placé pour mesurer son intelligence et le cheminement de ses raisonnements. Comment se fait-il qu'une telle jeune femme n'ait pas encore plié des Himalya jusqu'à elle ? Elle le fera. Les montagnes viendront à elle. c'est d'ailleurs ce que j'ai dit à la journaliste : "C'est une meneuse, elle fera de grandes choses".

Puis la séance a été levée. Et on a bu. Quelques-uns ont dîné. J'ai raconté mes histoires d'ancien combattant de la politique à des gens pour qui la campagne de Barre en 1988 est la préhistoire alors que pour moi, c'était déjà ma sixième ou septième année de militantisme et j'étais en 1986 et 1987 délégué général national des jeunes du CDS à la pointe de cette campagne.

Bref, la routine.

J'ai aussi témoigné de ce que je sais être la vérité de l'homme François Bayrou : celui qui veut faire travailler ensemble des gens qui ont envie de s'opposer. L'antithèse absolue de Sarkozy dont le plaisir serait plutôt de faire s'opposer des gens qui ont envie de travailler ensemble.

Mon témoignage, de ce point de vue, n'est pas contestable : il date de 1986, une époque où Bayrou était très loin d'une stratégie de présidentiable. Il venait d'être élu (en mars, le 16 mars pour être précis) député. Il avait 35 ans et, selon la règle du mouvement de jeunes d'alors, il conservait la qualité de "JDS", jeune du CDS. Or au congrès du mouvement, qui avait lieu à Metz, il fallait désigner une nouvelle équipe de direction des jeunes en question. Deux listes se préparaient à rencontrer leurs électeurs, l'une conduite par Éric Azière, qui s'occupe aujourd'hui des investitures pour Bayrou, l'autre par Jean-Luc Forget, aujourd'hui tête de liste du MoDem à Toulouse. Et Bayrou, un instant avant l'ouverture du congrès officiel, est venu nous voir : il savait qu'on allait gagner largement et il voulait qu'au lieu d'entrer en conflit, nous fusionnassions nos deux listes en une seule. Plus fort que lui. Sa conviction la plus chevillée au corps : renoncer aux oppositions quand elles n'ont qu'un sens superficiel. Un message de vie.