25 février 2009
"Alors on danse sur le monde en morceaux"
A ce soir à la République des blogs ;-) !
Sur un ton léger et en musique, "La crise", les crises, par l'Homme parle.
Il manque juste quelques pistes et solutions dans cette chanson, hors de question de se définir comme des victimes. Non, nous avons toutes les cartes en main. Arrêtons de déléguer. Tous responsables, tous acteurs.
envoyé par Marxsdtf (merci Pierrick pour la vidéo)
Chanson à mettre en perspective avec l'analyse de Frédéric Lordon dans le Monde diplo.(J'aime le contraste des styles). Il resitue dans le contexte les déclarations de nos brillants analystes, tant sur le fond que dan le temps.
"Elie Cohen, Nicolas Baverez, Jacques Attali
Les disqualifiés
Après le krach boursier, la faillite intellectuelle : au nombre des victimes collatérales du naufrage financier figurent la poignée d’économistes qui dispensent la bonne parole dans les médias. Libéralisation, déréglementation, privatisation : leur credo tenait en trois mots. Quand bien même une pendule arrêtée donne l’heure juste deux fois par jour, ces « spécialistes » ont étalé leur constance dans l’erreur. En détailler le menu évite que leur ardoise se trouve subitement effacée, à l’instar de celle des banquiers.
Par Frédéric Lordon
16:07 | Lien permanent | Commentaires (43) | Tags : homme parle, la crise