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15 janvier 2007

Amoureux, passionnés du débat politique, qu'attendez-vous des structures politiques ?

Les gros partis font leur démonstration de forces. Comme au Moyen Age, comme dans les grandes guerres, on aligne ses armées.  Faire peur, impressionner. Partir contre l'autres camp. Qu'on accepte ou non ce mode opératoire, c'est la politique d'aujourd'hui.

En fait, j'aimerai connaître votre point de vue sur les structures politiques, vous qui en êtes des acteurs quotidien, via internet, via le terrain. Et sur vos idées pour les faire évoluer.

3 questions :

qu'aimez-vous dans les structures politiques actuelles : vous êtes encartés, que cherchiez-vous et qu'avez-vous trouvé ?

Vous êtes féru de politique mais vous ne vous êtes pas encarté, pour quelles raisons, quels différents moyens avez vous trouvé pour vous engager ?

Quelles critiques constructives sur les structures d'aujourd'hui et que voudriez-vous voir émerger pour demain? 

Commentaires

Comme tu le sais, je ne suis pas encarté.

Je l'explique pour plusieurs raisons :

- faire parti d'un parti c'est adhérer à un système de pensée unique, souvent idéologique
- de ce que j'en sais, un parti c'est 20 têtes pensantes et 50 000 moutons à qui l'on fait croire qu'ils prennent part aux débats alors que dans la réalité ce n'est pas le cas.
- le manque de confiance globale envers les politiques tout simplement. Le système est ainsi fait que la pluspart d'entre eux sont démago car pour rassembler et peser il faut être capable d'avoir un discours étendu et qui prend forcément en compte les besoins des déffiérentes couches et classes de la population sous peine d'être difficilement audible (problème de F Bayrou et remise en cause des médiais plsu généralement).

Je pense que l'on devrait pouvoir aider les citoyens non encartés souhaitant s'investir de pouvoir le faire plus facilement et sans passer par un parti et de manière plus large de faciliter les allers retours entre carrière privé et publique.

Pour moi les partis ne servent qu'a légitimer la parole d'un homme tout simplement et je trouve cela dangereusement totalitariste quant bien même les militants votent, je pense que peux d'entre eux se rendent compte de la manipulation de l'appreil en coulisse.

facilitons la création et al reconnaissance de partis ou de mouvements comme toi tu l'as fait

Écrit par : Marc_B | 15 janvier 2007

Très amoureux, très passionné, je considère que les structures politiques sont tributaires des hommes et des femmes qui les composent. Le débat et l'action politiques sont des domaines que les profanes comprennent mal : la politique, comme l'ébénisterie, c'est un métier, il faut du savoir-faire.

Il y a, dans l'action, le même geste qu'avec un beau bois : une caresse, un coup de poignet. Personnellement, malgré mon ancienneté, je suis toujours un profane, toujours dans la spontanéité, ce qui m'empêche de juger les autres, et finalement je suis prêt à tout accepter. Je suis plein d'enthousiasme.

Écrit par : hervé | 15 janvier 2007

Qu'est ce que j'attend des structures politiques ? Qu'elles nous foutent la paix et nous laissent faire de la politique... Bon allez je blague, mais c'est pas loin quand même !

Je ne suis donc pas encarté, et j'ai choisi comme engagement l'information, via les blgos et plus tard le journalisme, qui sait !

L'engagement passe en tous les cas aujourd'hui par quelques voies : les partis et les ONG (façon traditionnelle), l'éducation et l'information, et puis la lutte armée si on va par là !

Bon enfin bref moi j'abandonne la logique partisane qui par définition ne me semble pas apte au changement. Les structures politiques sont lentes voire inertes... L'issue ne viendra je pense pas de là ! A moins que deux jeunes filles motivées y fassent la révolution, courage à elles !

Donc dans les critiques constructives mais utopistes (pas au sens de loufoque et irréalisables mais au sens de majeures et réalisables dans peu de temps après un vaste changement), je dirais qu'on devrait abandonner le système d'état nation, pour aller vers des instances locales (façon cités de la grèce antique moins les vices) chapeautées par une instance mondiale vraiment compétente. Abandonner les partis pour laisser faire les énergies et les compétences citoyennes ! En gros, rompre avec la dépossession, enfin je veux dire la délégation représentative !

Écrit par : Hugo | 15 janvier 2007

Je suis encarté dans des partis ou mouvances politiques depuis l'âge de 14 ans. D'abord dans des groupuscules d'extrême-gauche, plus un défouloir de rebellion pour crier sa haine du système.

Après mon bac je me suis assagis, et j'ai adhèré au MJS et au PS. Car j'étais persuadé que c'est justement à l'intérieur d'un gros parti que j'aurais le plus de chance de porter mes idées, que je pense bonnes. Sur certains points, j'ai réussi à trouver des courants au sein du PS très proches de mes convictions. Malheureusement nous sommes minoritaires, et je constate de plus en plus qu'il est difficile de faire bouger un parti d'éléphants. Et que c'est encore plus difficile lorsque la façade présente un renouveau. Mais dès qu'on gratte, on se rencontre que la carapace est encore plus imperméable aux nouveautés et à l'innovation.

Actuellement, je me pose donc très clairement la question de mon engagement : créer un nouveau courant au sein du PS ? Attendre de "voir" ce que va donner l'ère Royalo-hollando-drayiste du PS ? Attendre pour savoir si le PS qui émergera à l'issue des échéances électorales laissera la place au débat ? Et fera remonter les idées, quelles qu'elles soient ?

Le problème d'un gros parti comme le PS est qu'il est très difficile d'avoir l'audience de nos pontes. Et qu'il est donc compliqué de leur transmettre ce que nous jugeons utiles, eux qui sont persuadés de leur sentiment de supériorité. Et une fois qu'on les "atteint", c'est souvent pour ne pas être écouté. Et pourtant je suis persuadé que si on avait le courage de fouiler dans l'ensemble des courants, des motions, des groupes de réflexion internes au PS, nous aurions de quoi bâtir un véritable programme pour la France.

j'espère avoir répondu à tes questions ...
Bises,
L.

Écrit par : Lancelot | 15 janvier 2007

Au Moyen Âge comme en tout temps, ce n'est pas toujours le nombre des soldats qui compte seul pour la victoire. Voir la victoire anglaise à Crécy contre une troupe française beaucoup plus nombreuse ; voir Napoléon contre l'armée dite des "trois empereurs" et, à l'inverse, le même Napoléon malgré sa Grande Armée.

Ce qui compte en tactique est de connaître le point faible de l'adversaire, le défaut de sa cuirasse.

Écrit par : Hervé Torchet | 15 janvier 2007

Adhérer à un parti c'est à la fois un pas en avant et un pas en arrière...

Un pas en avant, car c'est découvrir une structure, c'est avoir accès à l'info, rencontrer les élu(e)s, participer aux campagnes, se voir confier ou conquérir des responsabilités, parler au nom d'un groupe...

C'est aussi un pas en arrière, car c'est une "petite mort", c'est perdre un peu de sa liberté, même si sans angélisme on est pas les plus à plaindre à l'UDF.

La politique change, les partis aussi. J'ai la chance d'être en province, à Angers, et nous avons pu faire un parti à notre image. Je comprends que ceux qui arrivent à l'UMP ou à au PS se sentent un peu perdu.

Personnellement je pense que la décentralisation est l'avenir des partis politiques! Laisser plus de marge aux sections locales, plus de budget, pour coller d'avantage aux réalités du terrain.... vaste réflexion... Quitterie agitatrice d'idées pour le renouveau de la politique!

Écrit par : Anthony | 15 janvier 2007

@Hugo : j'en étais sur ;-) On en a déjà parler longuement et je pense que ce n'est pas fini!
@Lancelot : Très bonne analyse à mon humble avis, Bises à toi et à vous tous.

Écrit par : virginie | 15 janvier 2007

La réflexion sur mon blog sur le congrès de dimanche :



Dimanche, Sarkozy sera intronisé !
enfin le grand jour pour lui.
Au cas où, ce sera l'occasion de répéter pour ceux qui n'avaient pas compris, il veut être président.
Entre son interview pour l'annonce de sa candidature à la canditature, 3 heures de direct avec Arlette Chabot,
on n'avait vraiment pas besoin d'un sacre à la Napoléon.
Enfin, ce congrès montre bien le goût du candidat Sarkozy au spectaculaire, au culte du chef, à la mise en scène,
bref, tout ce qui anime la politique aux Etats-Unis.



Quelques chiffres :
8 TGV
250 CARS
50 000 FANS


Mais quelque chose me fait assez mal au coeur :
Le coût de l'opération :
8 millions d'euros environ

Pour quoi ? Pas de suspense, il est le seul candidat de l'UMP
Réponse : Pour qu'on parle de lui.
La campagne, qu'on le veuille ou non prend un tournant où tous les coups sont permis.

L'argent devient un critère déterminant.


Peut-être au détriment des idées...




Ah la la... Elle est passée où la vraie politique ?
Celle des idées, du combat juste, de la proximité ?


Non, je ne voterai pas pour Sarkozy !


Benoit



ben3002.blog.20minutes.fr

Écrit par : Benoit | 15 janvier 2007

Ce que j'attends? Un peu de rêve. Pas des promesses en l'air, simplement, qu'on nous montre que le rêve est possible, que l'on peut changer les choses. Que les structures favorisent le débat, et qu'elles sortent de leurs querelles internes (on ne peut pas les supprimer mais on n'est pas obligé de faire du pugilat permanent un principe de fonctionnement), pour s'ouvrir sur le monde, les associations, et attirer plus de monde.
Parce que lorsu'on y est ça vaut le coup, vraiment, encore merci pour ces beaux moments
d'hier.

Écrit par : Philipe | 15 janvier 2007

@Benoit : moi non plus!! je ne voterai pas SArkozy..n'hésite pas à nous envoyer un mail qu'on se rencontre pour en parler. A bientôt.

Écrit par : virginie | 15 janvier 2007

@ Virginie : merci pour le compliment. Bises à toi aussi !
L.

Écrit par : Lancelot | 15 janvier 2007

Je suis pas encore encarté encarté, mais j'ai hate de l'être...niark !
Déjà pour faire un plus dans la politique, il faudrait que le box des politicards soit renouvelée régulièrement... je suis déjà convaincu par le projet de Quitterie.
Que l'on est un régime plus parlementaire, et moins présidentielle.
Que les femmes et les hommes politiques fassent de la politique et ne soient pas en campagne pendant cinq ans...
Que l'on soit plus incité lorsque l'on est jeune (les filles aussi, elles ont n'ont rien à foutre, on se demande pourquoi elles ont le droit de vote) et pas seulement par les manifestations... que l'on est une petit culture politique (pas seulement du front populaire ou de du Générale De Gaulle), et de la culture tout court pour avoir un esprit critique et citoyen à la sortie de la scolarité.
Peut être, un peu plus de démocratie direct informatisée...pourquoi pas un projet pilote.
Et que notre assemblée nationale prennent exemple sur le parlement européen.

@+

Écrit par : morgan | 15 janvier 2007

J'ai été déposé une gerbe pour Josep Borrell...

Écrit par : morgan | 15 janvier 2007

J'ai été déposer une gerbe pour Josep Borrell...

Écrit par : morgan | 15 janvier 2007

oui, j'adore la politique car débats d'idées, aime l'odeur de la réflexion...mais ne suis pas encarté car je pense que ça affaiblit la liberté de penser, cela donne des réflexes de fan club qui est mauvais pour le recul intellectuel, j'apprécie peu les effets de groupes, les mùouvements de foule...et meme si j'ai hésité et sans esprit cire-pompe à l'heure actuelle ce serait surement une carte UDF que je choisirais comme de puis longtemps...mais je suis trés sceptique face aux capacités de présidentiable de Bayrou et meme si je le reconnais comme surement le plus honnéte politiquement, le plus courageux, le plus réprésentant de ma France...je ne me vois pas abandonner ma liberté pour lui...je m'engage par des articles sur mon propre blog, articles minoritaires et surtout contre certaines idées que pour quelqu'un...je m'engage aussi en collaborant pour un blog de politique qui n'est pas réellement de ma couleur politique mais qui a des valeurs communes avec moi et des convictions qui sont souvent les miennes...alors, voilà ma façon de voir l'engagemnt se battre contre tout ce qui va à l'encontre de ma morale, mes valeurs, mon éthique et mettre an avant toutes idées qui me semblent honnétes et guidées par de vrais convictions...et tt cela en dehors de toute manipulation de partis...donc pas de carte...!! lol

Quelles critiques constructives sur les structures d'aujourd'hui et que voudriez-vous voir émerger pour demain?
J'aimerais que les structures respectent réellemnt la parité et la représentativité sociale et "ethnique" de notre nation...j'aimerais que ce soit plus esprit achange d'idées, émulation de groupe...et pas seulement un groupement d'hommes et de femmes qui ne sont là que pour remplire des salles pour applaudir leurs chefs...j'aimerais que chaque encarté soit obligé d'apporter ses idées comme un dossier personnel avec ses valeurs, ses souhaits, ses idées...comme un mémoire d'engagement ainsi l'entourrage du chef pourraient s'ils voulaient en tirer le meilleur...

Écrit par : Ivannoui | 15 janvier 2007

Salut Quitterie, tu es mentionnée, citée (et critiquée) dans ma dernière banderille (http://www.toreador.fr/2007/01/16/banderille-n%c2%b038-les-faux-debats-de-la-presidentielle-v-le-changement/). Il est plus courtois de te le dire, notamment si tu souhaites apporter ton éclairage.

A bientôt peut-être
Toreador

Écrit par : Toreador | 16 janvier 2007

@Ivannoul :je te suis totalement. Selon moi, une des priorités est le respect de la representativité sociale, ethnique et la parité dans toutes les instances de gouvernance. C'est ainsi que le débat d'idées serait stimulée, et ce ferait sur des bases réelles.

@Toréador : trop aimable à toi, quelle gentille attention ;-)..La liberté de penser c'est bien de penser ce qu'on veut..et de l'écrire..mais la critique est facile, l'art est difficile.

Écrit par : virginie | 16 janvier 2007

@ Virginie : Quel "Art" exactement pratiques-tu ?

Écrit par : Toreador | 16 janvier 2007

bonjour les Jeunes Libres

S'engager en politique... j'y pense depuis des années, mais... j'ose pas ;-)
En effet, j'ai l'impression que je suis trop honnête pour y aller et que je risquerais de me faire "bouffer" pas ceux qui n'ont pas de scrupules pour écraser les gens honnêtes.
Je pense que le jour où je serais vraiment installé dans une commune (rurale de préférence), je sauterais le pas pour me présenter, sur une liste ouverte ... donc centriste !
Dans ma vie j'ai toujours été engagé dans les mouvements associatifs mais dès que ça devenait trop politique, je me disais que ce n'était plus pour moi.
Il va donc bien falloir que j'ose un jour porter le slogan qui était déjà celui de Raymond Barre en 1988, je l'ai eu placardé sur mon fauteuil roulant pendant un certain temps (et j'ai encore l'autocollant chez moi) : "Confiance" !

Bonne journée

JF

Écrit par : Breizhmaine | 16 janvier 2007

@ Breizhmaine,

Je te comprends, je suis dans la même logique que toi.

Une des difficultés majeure que je rencontre c le temps. Je ne peux aujourd'hui me permettre de démissionner de mon job pour m'engager, je réfléchis donc à des solutions alternatives

Écrit par : Marc_B | 16 janvier 2007

@ Breizhmaine,

Je te comprends, je suis dans la même logique que toi.

Une des difficultés majeure que je rencontre c le temps. Je ne peux aujourd'hui me permettre de démissionner de mon job pour m'engager, je réfléchis donc à des solutions alternatives

Écrit par : Marc_B | 16 janvier 2007

Pour répondre aux trois questions de Quitterie :

1). L'engagement, c'est-à-dire être encarté, est un "plus" pour un jeune qui s'intéresse un tant soi peu à l'intérêt général. Ce n'est ni une compromission, ni un asservissement de sa pensée qui doit restée libre. Des jeunes libres donc ! On adhère pour le bien de son pays, non pour celui d'un clan. Une structure politique semble néanmoins indispensable si le jeune veut prétendre à un mandat, sous l'étiquette politique qui correspond le mieux à ses idées.

2). Pourquoi adhérer ? C'est la réflexion que je me suis faite longtemps. Certains comme à l'UMP rigolent du fait que des élus soient toujours dans un parti, sans avoir cotisé régulièrement pour leur adhésion (voir mon reportage à Marseille le 1er septembre dernier comme blogueur accrédité). Avant l'apparition des blogs, très peu de moyens étaient à disposition des jeunes pour s'exprimer hors des partis. Aujourd'hui, c'est le cas et ils peuvent combiner les deux à la fois (comme Quitterie !) ;-)
Mais quand on observe les jeunes populaires (désolé, j'adore leur taper dessus), les beuglements et les larmes devant l'image de leur président font peurs aux non-encartés. De l'irrationel au lieu des idées et des engagements pour la nation...

3). A l'avenir, les jeunes ne doivent pas suivre le courant de l'antiparlementarisme, lié de fait aux structures partisanes qui investissent les parlementaires. C'est un courant bien trop ressassé par nos aînés. Les jeunes doivent innover par leurs engagements et éviter absolument de répéter les comportements politiciens qu'ils observent depuis tant d'années (un voeu pieux).
Les structures partisanes doivent aussi devenir incontournables pour jouer les intermédiaires des doléances de la société, tout en évitant de les dénaturer et de les récupérer pour le seul intérêt électoral. Aujourd'hui, des cercles de penseurs (genre "La République des Idées" de Pierre Rosanvallon") élaborent des idées pour le pays, par le biais de spécialistes (chercheurs, professeurs, associations, etc.) qui estiment que les partis ne savent plus répondre aux attentes des Français. Les spécialistes demeurent enfermés dans leurs cercles, les partis ne les écoutent pas et les Français subissent ce que l'on observe aujourd'hui : une campagne où le second tour serait déjà joué entre deux candidats accrocs à la communication politique, aux médias complaisants et aux sondages rébarbatifs.

Écrit par : OG | 16 janvier 2007

@Toréador : L'art, tout simplement de faire, faire des choses simples pour que le débat avance. Par exemple, pour l'inscription sur les listes électorales, aller à vaux en velin et essayer de réintéresser les gens à la politique. Voilà un exemple de notre modeste art.

Écrit par : virginie | 16 janvier 2007

@ Virginie

Aaaahhh ok. Désormais la politique, c'est une obligation de moyens ! On est "facilitateur de démocratie", "emploi-jeune éducation civique", "VRP de la démocratie". On ne doit pas avoir le même dictionnaire. Moi j'appelle ça de l'art...isanat politique. On avance ... pour avancer. Ma thèse : si les thèmes étaient plus intéressants, les gens (et les jeunes en particulier) s'inscriraient d'eux-mêmes.

Écrit par : Toreador | 16 janvier 2007

Bonjour Virginie, Quitterie

la politique c'est changer la vie de la cité.
C'est rendre le maximum de personne heureuse de vivre.
Que demander à un politique :
d'être à l'écoute des problemes et des solutions
toujours être prêt à discuter pour créer du lien social.
La politique c'est l'organisation de la ville.
Je rapproche beaucoup la politique de l'urbaniseme et du logement.
Lorsque vous êtes bien logé dans un environnment sain (bois, verdure) et des moyens de transport facile d'acces et peu chere : il vous reste du temps pour vous occuper de votre entourage dans des associations.
Lorsque l'on regarde les villes où l'on voudrais vivre si on avait les moyens : c'est un lieu avec l'acces à un emploi stable et la possibilité de loger au calme.

en résumer la politique c'est creer un lieu de rencontre et un lieu de repos.
Du travail et du calme
discuter et construire et se reposer au calme
c'est l'objectif du politique c'est construire un lieu( ville, region, pays, ) où l'on se sent bien en harmonie.

merci de réagir

la politique c'est triste quand on enferme les sympathisants dans des enceintes closes pour leur faire croire à un avenir meilleure plus tard (surtout quand on connait la somme depenser plusieurs milliers d'euro souvent pour du vent).L'avenir meilleure c'est tout de suite et maintenant, c'est chacun qui vit avec et pour les autres (sa famille, ses amis, son pays, )

allons y avec le sourire, l'avenir est déjà là !


Julien

Écrit par : julien | 16 janvier 2007

Bonsoir Quitterie

Ta question m'a fait réfléchir, et a rencontré une autre réflexion que j'ai menée ce soir. J'en ai fait un billet sur mon blog. Je crois que l'essence même de la politique est d'essayer d'améliorer les relations entre les habitants de cette planète, de préserver leur avenir. En ce sens, le plus important engagement politique n'est pas, pour moi, de s'investir dans un parti ou un autre pour savoir - par exemple !- quel doit être l'âge de la retraite, est-ce que le CPE est une bonne réforme ou non ou autre. Non, le premier acte politique est de se demander ce que l'on fait pour progresser, s'améliorer, qu'est-ce que l'on fait pour aider nos proches à devenirs meilleurs, comment faire pour que nous soyons toujours unis. Un peu naïf, peut-être, mais essentiel. Ne pas nier nos différences, mais chercher dans ce qui nous fait différer des richesses plus que des sources de conflit.

Écrit par : Denis | 17 janvier 2007

Bonjour,

Je ne suis pas encarté, goût de la liberté et du dépassement des étiquettes. Un billet plus longsur mon blog, et en synthèse :

Faire de la politique, c’est arbitre l’effort demandé à chacun mais aussi et surtout, répartir le fruit de l’effort pour donner du sens à la société.

Faire de la politique, c’est dessiner un chemin entre désir et volonté, sur le marbre de l’intérêt général et des libertés individuelles. Le chemin doit avoir un sens, des valeurs d’entraînement, qui permettent de dépasser l’équation des contraintes.

Aujourd'hui se pose un problème crucial à la politique, auquel il est urgent de répondre. Quel chemin pour aller vers où ?

Notre société de la connaissance a pourtant le potentiel de créer des représentations d’un idéal accessible qui lui donne sens. Ce ne sont pas les défis qui manquent dans un agenda humaniste, il y a tant de cathédrales laïques et modernes à construire…

Écrit par : Héloïm Sinclair | 21 janvier 2007

pourquoi etre obiger de s incrire pour poster- deja un fichage scandaleux facho

Écrit par : leleux | 12 février 2007