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« Des démocrates à Seignosse, des démocrates dans le monde. Nuits courtes, débats passionnés : vers une Assemblée constituante ? | Page d'accueil | Chapeau bas Anne Marie Comparini ! »

20 septembre 2007

A nos meilleures années...

Nos meilleures années est la fresque d'une génération qui, avec ses contradictions, avec sa fougue, tantôt ingénue, tantôt violente, avec sa rage parfois déplacée, a essayé de ne pas se résigner au monde tel qu'il est, mais de le rendre un peu meilleur.

A Virginie, et ses 32 ans. Au Modem 4.0, à mes amis de la toile, à la magie du net. Photo François de l'Imprévu. Forum démocrate Seignosse 2007.

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Commentaires

@Quitterie : j'ai la lourde tache d'être la premiere. Tout simplement merci pour ces instants de bonheur, de franches rigolades ces moment plus durs mais toujours cette même determination : garder nos reves, se battre pour les realiser en respectant notre ideal, en respectant nos valeurs, et notre ethique. Merci pour ces trois ans, merci pour les trois ans à venir, c'est et ca sera mes meilleures années parce que je sais pour quoi je me leve tous les matin desormais. Comptes sur moi et nous tous chaque jour dans nos futurs projets,je t'embrasse, nini
@Tous : Merci pour ce soir, c'etait super, très emue la nini auu fond ;-)))
@amis de la toile : c'est vrai que vous êtes pas mal thierry nico and co....;-)))

Écrit par : virginie v | 20 septembre 2007

@Quitterie : bravo !

@Virginie : bon anniversaire, toi !

bises, F.

Écrit par : FVZ | 20 septembre 2007

Bonne anniversaire Virginie !

Bises

Séb.

Écrit par : Sébastien PEREIRA | 20 septembre 2007

Très bon anniversaire à toi Virginie!

Écrit par : Céline | 20 septembre 2007

Très bon anniversaire à Virginie, grosse bise à Quitterie...
Et bonne continuation à toutes les deux, les sexy centristes ;-)

Écrit par : Triple R™ | 20 septembre 2007

Bonjour,
Joyeuse Anniversaire Virginie .
32 fois Merci de ton engagement

Écrit par : julien94 | 20 septembre 2007

Pour rendre le monde un peu meilleur,le monde qui bouge,le monde qui avance;il faut refuser de rester figé;il faut regarder loin devant comme le font Virginie et Quitterie Delmas. Beaucoup de bonheur comme un ciel sans fin...........Pierre

Écrit par : ulm pierre | 20 septembre 2007

@Pierre : merci Pierre, entierement en phase avec tes propos, Quitterie m'a appris à regarder loin devant...beaucoup de bonheur à toi, bises, virginie
@Triple R : Merci Remy, bonne continuation sexy triple R ;-))
@Céline et Seb : merci beaucoup, bises, virginie

Écrit par : virginie v | 20 septembre 2007

Allez on ne le dira jamais assez : bon anniv' Virginie !

Par contre Quitterie, c'est pas sympa de balancer l'âge de ta copine! Même si elle ne les fait pas ;)

Écrit par : tiwan | 20 septembre 2007

32 ans d'expérience feront toujours la différence : t'es meilleure que le Nutella, ma Nini !
Je t'embrasse, championne du bisoumètre!
A très bientôt (et merci beaucoup pour ton sms!)

@ Quit
discussions d'ordre essentiel hier. Ca fait tout bizarre de réaliser que parler politique hier soir m'a fait du bien et m'a donné de l'espoir, malgré toutes les mesquineries, manipulations, stratégies foireuses qu'on constate partout (Vu à la Télé!)
j'ai réalisé que la vraie liberté peut exister si l'on oppose pas son bonheur à celui des autres. C'est ce que tu vis, non?
Reprenant Bernanos (je crois), je dirais : L'éthique, c'est l'art de jouir de la vie.

Écrit par : guillaumeD | 20 septembre 2007

@Quit, Nini

Encore merci pour hier soir, j'ai beaucoup ecouté et donc beaucoup reçu !

Je compte sur tout le MoDem 4.0 pour faire du texte de Nos meilleurs amis une sorte de
vase-line du groupe

Écrit par : Benjamin SAUZAY | 20 septembre 2007

Oups, elle est pas mal celle-ci... il fallait évidemment lire base-line et non... vase-line !!!

Écrit par : Benjamin SAUZAY | 20 septembre 2007

toi aussi, il y a des choses extra qui sortent de ta bouche... ;-))

Écrit par : MIP | 20 septembre 2007

@Benjamin Sauzay: trop fort! Tes doigts ont du glisser sur le clavier...

Écrit par : Nicolas Vinci | 20 septembre 2007

Bon anniversaire jolie demoiselle.

Écrit par : Eric | 20 septembre 2007

attention les amis la pente est glissante à ce que je vois...

encore une fois bon anniversaire Virginie

Écrit par : philippe | 20 septembre 2007

Benjamin
as-tu pensé à consulter un psy?
;-)

Écrit par : guillaumeD | 20 septembre 2007

Bon anniversaire "péril orange", garde ta foi et ton énergie. C'est important de considérer ses meilleures années. Les miennes, c'est plutôt du genre "péril jeune (jaune ?)". ça commence à dater. Le temps passe bien trop vite.

Écrit par : rémy | 20 septembre 2007

Qu'elle est belle VIRGINIE
Qu'elle est belle QUITTERIE

Écrit par : Reveur75 | 20 septembre 2007

Et bon anniversaire VIRGINIE

Écrit par : Reveur75 | 20 septembre 2007

Bonjour à tous, et bonne anniversaire à virginie.

je voudrais juste dire un mot du titre du post et de la référence à "nos meilleurs années". Il me semble en effet qu'une telle référence est assez révélatrice de ce qu'on peut lire ici et sur le modem.

Le film de Tullio Giordana, ou plutôt la "saga" télé (2 parties pour près de 6H), est en effet un très beau film, la qualité des acteurs, nous rend les personnages attachants, et il est sans doute difficile, dans la deuxième partie, de ne pas pleurer comme une madeleine devant les destins brisés de Giulia et consorts. La forme même de l'épopée générationnelle est en outre de nature à traverser la plupart des questionnements individuels (l'initiation des frangins, la découverte du monde du travail, la vie de famille, le deuil etc.) comme de les inscrire dans une trame collective (l'italie des années 60, 70 etc.) L'histoire se trouve ainsi éclairée et prise au prisme de l'empathie personnelle.

Très Bien. Seulement, ce film, produit par la RAI, entendait justement faire oeuvre de mémoire, et présenter une vision apaisée de l'histoire récente de l'italie, jnotamment des "années de plomb". Le réalisateur revendiquait du reste la dimension pédagogique d'un travail souvent utilisé dans les lycées. Et c'est ici que j'ai été un peu géné par les partis pris d'ensemble.

La lecture de l'histoire italienne est dominée par une césure extrememnt nette entre les années 60, printemps heureux d'une contestation politique humaniste, solidaire, où la jeunesse communie dans quelques grandes mobilisations (comme la préservation des manuscrits florentins lors de la grande innodation de Florence) ; la politique s'y trouve ramené au grand élan d'une jeunesse consciente, active, sereine, où les questions sociales sont évacuées ou vidées de leur acuité propre.

D'autre part, les années 70, avec l'émergence de la violence politique d'extrême droite et d'extrême gauche (BR), apparaissent comme une tragédie essentiellement personnelle, incompréhensible, au travers du personnage de Giulia. La jeune femme apprentie pianiste, progressiste, du début se mue en autiste angoissé, fuyant la lumière et la musique pour plonger dans la lutte armée. L'engagement, de riant et festiof, s'est transformé en piège. Une scène l'exprime très nettement. Alors que le couple de Giulia bât de l'aile, celle-ci organise une réunion politique dans sa cuisine. La salle est enfummé, re"mpli de "camarades" barbus et jargonnant sur le sort du prolétariat. La tension est peinte sur tous les visages. Le mari de Giuilia, ce psychiatre progressiste et humaniste, lassé de ce bavardage prend sa fille dans ses bras, et part se promener avec elle. Giuilia reste, préfiguration de la thèse finale (voir la discussion vingt après entre Giulia et sa fille) : le militantisme de Giulia, né de son refus du bonheur familial, de la réussite et de l'amour de soi (elle abandonne le piano et abdique alors de son talent), et au final de son impossibilité à être mère, ce militantisme est donc une maladie mentale, une névrose. Dans sa carrière terrosriste, Giulia ne cessera de changer d'apparence (lunettes noires etc.) la plantureuse blonde n'est plus qu'une brune, graçonne, tirant nerveusement sur sa cigarette dans des chambres d'hotel vide.

Ce ressort dramatique efficace opère donc sur une dramatique simplification de l'histoire, au bénéfice d'un discours de conciliation humaniste. L'important est d'une part d'évacuer la réalité sociale effective (la corruption de l'état italien de l'époque, la dimension massive des grandes grèves des années 70, le climat de peur entretenu par un terrorisme fasciste aveugle) et la nature proprement politique des motivations des acteurs (par exemple, la génération de militant des années 70 a été élevé dans la culture de l'après-guerre, c'est-à-dire au lait d'une mythologie de la résistance etc.) ; d'autre part, il faut induire que le terrorisme est en lui-même une question individuelle (la question du passage à l'acte comme pure transgression morale) ; il n'a pas de sens collectif. La violence politique est le fait d'un "anormal", n'est cde pas. C'est dire pourtant trop et pas assez ; mais on voit bien où cela mène.

Cela déréalise complètement l'objet de la politique (une société qu'il ne s'agit pas de comprendre, car elle serait naturellement transparente) et son sujet (avec cette distinctionévidente entre le progressiste père de famille et la névrosée) au point d'occulter complètement la violence qui irrigue la société, et surtout la part d'oubli qui justifie un travail de mémoire.

On voit bien que ce type d'idée revient à tenir un ancien BR pour un criminel de droit commun, ou un exalté dangereux à interner. Suggérer que la violence politique suppose une situation collective de crise, et nécessite ainsi un passage, à ujn moment quelconque par l'amnistie (En france, on a amnistié les communard 10 ans après le massacre, et même la tentative de coup d'état de Déroulède lors de l'affaire Dreyfus). Un film comme nos meilleurs années nous en éloigne. Or l'envers de cette mémoire sélective, ce sont les grâces berlusconiennes pour les responsables des attentats aveugles de Milan (mais c'est vrai que l'extrême droite défendait l'ordre) et l'arrestation de Battisti et de Marina Petrella, sous les bénédictiojns des bien-pensants français (sur ce sujet http://www.paroledonnee.info/).

J'en vien au modem, si vous avez eu la patience de me suivre.

Je me souviens d'avoir lu il y a quelque mois un article pas fameux (comme souvent) de Clémentine Autain dont le titre devait être à peu près "Bayrou n'est pas caismir". Elle fustigeait l'égarement des trentenaires plutôt de gauche en terre orange.

Je me demande en ce moment si malgré tout, excusez la formule, on ne commence pas à lire des choses ici un peu "île aux enfants". J'ai le sentiment que le discours modem opère comme Tullio-Giordana sur des fausses notions transparentes "éthique" "responsabilité" etc. pour mieux évacuer toute violence, toute complexité, et tout sens historique des analyses. Quiterrie Delamas s'étonnait en souriant, dans sa dernière vidéo, d'avoir vu au Modem "même d'anciens communistes"! C'est-à-dire? Des gens qui utilisaient le mot "prolétariat" (tellement ringard)? Ou qui parlaient des "travailleurs", à l'heure des réseaux et de l"'horizontal"?

N'est-ce pas dangereusement viser le consensus, la fadeur des indignations convenues (par ex. OK pour dénoncer l'ADN, mais les tests de français, n'est ce pas concrètement pire? Et que penser d'une chambre qui vote un amendement contraire à la loi votée sur la bioéthique deux ans plus tôt etc...). N'est-ce pas au final risquer de devenir ce que le centre avait la réputation d'être avant la "révolution centriste": un marais où se côtaie sociaux-démocrates bon teints et gouvernants "responsables"?

Enfin jouer sur l'effet générationnelle (jeunes libres en avant! renouvellement des cadres politiques etc.) n'est-ce pas là encore ramener les responsabilités historiques à l'échelle télévisuel de l'aventure personnelle ou du destin individuel, en combinant les joies du narcissismes éthiques et la nostalgie au présent de ceux qui "sont dans le mouvement".

Vous excuserez cette séverité, mais l'éloge d'un film, qu'il faut voir en effet!,dans des pages conviviales où abondent les "trop d'accord avec toi pour refonder la politique" et autres calinades sympathiques mais, à mon sens, relevant plutôt justement des rapports privés, a fini par corrompre l'intérêt que je prenais à vous lire.

Il me semble que la politique n'est pas un sujet "cool", ni l'éthique un mot d'ordre extrêment délicat lorsqu'on en fait un motif d'enthousiasme.

Amitiés.

philinthe.

(désolé pour les nombreuses coquilles, j'ai écrit sans me relire.)

Écrit par : philinthe | 21 septembre 2007

Il va falloir que je prenne le temps de lire notre ami philinthe qui a le commentaire nébuleux et chateaubrianesque...C'est trop long cher ami. Ce qui s'énonce clairement se dit en peu de mots. Mais bon je vais venir vous relire. Promis.

Écrit par : Antoine KOWALSKI | 21 septembre 2007

Je pense qu'il n'est pas inutile de prendre le temps de lire ce qu'écrit Philinthe, et de comprendre l'avertissement de son message. Long peut-être mais pas nébuleux...

Écrit par : rémy | 21 septembre 2007

@ philinthe
je comprends en partie ce que vous dites, en particulier en ce qui concerne les discussions à caractère privée de certains des commentaires de ce blog. C'est un écueil dans lequel je tombe mais ça alourdit nécessairement la lecture c'est certain.

Quant à imaginer que Quitterie, Virginie et les lecteurs habituels de ce blog imaginent la politique comme qqchse de "cool", "fun", ce serait bien mal les/nous connaître...mais je comprends que cela puisse transparaître parfois.

Pour finir : sur les tests de français, c'est effectivement tout autant lamentable mais l'urgence aujourd'hui (parce que le gvt a décidé de mettre en oeuvre la procédure du même nom), c'est bien de parler de cet amendement ADN.

Écrit par : MIP | 21 septembre 2007

@Remy : tu as raison Cher Remy, bien à toi, virginie
@Philinthe : je rejoins MIP pour te dire que même si le ton est pafois à la "calinade" un peu "cool", la Politique est entendu par Quitterie et toutes les personnes de notre entourage dont MIP et moi comme quelquechose de très serieux, non pas la quete d'un ideal mais la recherche d'un systeme un peu meilleur, non pas la quete du tout ethique mais d'une juste balance...Tout cela est fait dans une ambiance de reelle amitie, ce que je n'avais pas connu depuis 10 ans mon arrivée en politique, mais qui au contraire nous pousse à respecter les raisons de notre engagement et les regles que l'on s'est posé, je te prie de bien vouloir nous excuser si nous te paraissons parfois trop leger mais cette legerete nous aide à nous battre même quand c'est dur pour nos idées, Amities, virginie v

Écrit par : virginie v | 21 septembre 2007

@Remy : merci ca fait dix ans et mon envie est inchangee transformee même d'avoir trouver mes semblables et d'être en paix avec moi-même je continuerai tant que l'envie me guidera, je t'embrasse, fort

Écrit par : virginie v | 21 septembre 2007

Je me permets d'ajouter quelques mots (pas trop).

Je ne voudrais pas réduire trop vite mon propos aux pics de la fin, même si c'est normal que vous réagissiez d'abord là dessus ; je sais d'expérience qu'on peut trouver des milieux politisés autrement plus navrant qu'ici, et je n'ai fait que relever quelques formules qui m'avaient agacées, en passant.

Je voulais surtout poser quelques questions à partir du film de Tullio-Giordana, et ce que celui-ci dit d'une manière de penser le politique, la mémoire et l'engagement.

a) il témoigne selon moi d'une commune inconséquence quant à la manière de penser "l'engagement" politique, sous l'appelation "citoyen", "solidaire" etc. il prend la forme d'une morale laïque de bon aloi, consensuelle et en un sens, justement, "apolitique" car distancié à l'égard des conflits réels. (C'est le sens de la valorisation de l'expérience collective de la solidarité dans le film durant l'inondation de Florence). À l'inverse, le militantisme prend une tournure sombre, très péjorative, lorsqu'il cesse de jouer le jeu "démocratique" (mouvement de rues, clandestinité). On voit bien qu'il en va d'un choix à la fois moral et politique, indissolublement. Quelqu'un qui avait une arme sur lui lors d'une manifestation était à la fois un militant ayant une certaine idée du progrés, et également quelqu'un qui savait bien que la seule voie "légale" pouvait s'avérer naïve, lorsque l'état est décrédibilisé par la corruption. Il me semble que le film évacue ce dilemne au bénéfice d'un discours moraliste et psychologisant qui rend incompréhensible l'histoire elle-même.

b) Je me doute bien que Casimir n'est pas encarté au modem, et je ne doute pas que beaucoup prenne ici les choses très au sérieux. Mais justement, il me semble qu'il y a un monde entre la tragédie telle qu'elle se dit politiquement, dans le langage, en l'espèce, du débat parlementaire, et sa réalité. Entendons-nous, je ne défend pas la vérité "du terrain" contre le bavardage sur le net... Je veux dire que justement un film émouvant sur l'histoire ne nous aide pas à comprendre ce qui s'est passé ; la mise en scène et le pathos familial écrase tout accès à la complexité. Comparez le succès, en France et en Italie, de la "meglio gioventu" et le sort réservé aux militants italiens ; ça ne fait pas un pli. Les mêmes qui pleurent devant le film expliquent doctement que Marina Petrella doit croupir en prison vingt après, que la france doit tahir sa paraole alors même que la justice italienne est très loin de pouvoir encore avoir un regard clair et dépolitisé sur une crise nationnale extrêment grave.

c) enfin je faisais part de mes reserves sur l'approche générationnelle des questions politiques ; d'abord parce que ce type de solidarité dissimule, dans la chaleur de la communion collective, des inconséquences qui menacent tout le monde. Je n'aime pas vraiment la rhétorique de "l'aventure humaine" en politique ; car, à mon sens, elle valorise davantage le sujet politique que son objet (la pipolisation c'est aussi ça).

Pour tout cela, je trouvais significatif d'associer au modem un film excellent, mais qui incarne parfaitement une forme de déréalisation de la vie sociale, des nécessités et des aveuglements historiques, au profit d'un discours très général, très indéterminé, et qui choisit un peu ses indignations.

En ce sens, mon pensum "chateaubrianesque" ne cherchait qu'à inviter à la vigilance ; rien n'est plus ennivrant que le sentiment, collectivement entretenu, d'être "aux affaires", dans "le mouvement". Mais je dois être un bougon.

ciao a tutti

P.

Écrit par : philinthe | 21 septembre 2007

@Philinthe : merci pour ces reflexions sur ce film, qui sont fortes interessantes et ton pensum de la fin ne tombera pas dans l'abime, merci de tes conseils, Ciao et à bientôt, virginie

Écrit par : virginie v | 21 septembre 2007

@ Virginie : avec un peu de retard mais beaucoup de sincérité : excellent anniversaire ! Et ce même, si mes voeux sont désormais loin d'être oranges,... mais ma passion pour la politique de plus en plus grandissante ;o))

Écrit par : Karin | 21 septembre 2007

@Karine : c'est ta sincerite que j'apprecie et ta passion pour la politique, bise, virginie

Écrit par : virginie v | 22 septembre 2007

Quelle photo ! Vous êtes superbes et émouvantes,avec le feu de l'engagement dans les yeux! mille mercis et à bientôt
bertarnd

Écrit par : Bertrand | 22 septembre 2007

@Bertrand : merci, à bientôt, virginie

Écrit par : virginie v | 22 septembre 2007

Je suis affreusement en retard et pourtant je m'étais promis de te souhaiter à Vriginie son anniversaire... Je m'en veux mais bon, mieux vaut tard que jamais alors : "Bon anniversaire, Virginie !"

Tu fais partie de ces gens que l'on est heureux de connaître. Je t'embrasse.

Écrit par : Christophe Ginisty | 22 septembre 2007

@Christophe : Cher Christophe, merci pour tes propos, qui me touche beaucoup, je t'embrasse, à bientôt, virginie

Écrit par : virginie v | 23 septembre 2007

j'avais pas bien vu que c'etait ton anniv'...
bon anniversaire à toi!!!
bizzz

Écrit par : julien vick | 24 septembre 2007

@Julie, : merci, je t'embrasse, virginie

Écrit par : virginie | 25 septembre 2007