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20 novembre 2007

La leçon d'économie de Jean Peyrelevade : bilan des premières mesures macro éco de Nicolas Sarkozy

Je remercie le bloggueur Démocratie et hérésie économique d'avoir réalisé cette note sur les premiers mois de l'action de Nicolas Sarkozy, sur le capitalisme financier. Une belle leçon d'économie et d'analyse nous est présenté par Jean Peyrelevade à notre attention. Quand le capitalisme financier a pris le pouvoir sur l'action entrepreunariale. Les dangers du capitalisme financier, inégalités salariales, crise des subprimes, stock options, Les solutions : plus de régulation banquière et financière.

Bon visionnage !

Commentaires

@L'heretique et Quitterie : merci de nous permettre de visionner cette video, A voir à tout prix, une vraie lecon magistrale, bien à vous, virginie

Écrit par : virginie v | 20 novembre 2007

Peyrelevade dit très bien les choses et explique pourquoi Sarkozy se trompe.

Écrit par : Hervé Torchet | 20 novembre 2007

Bonjour Virginie, bonjour Quitterie,

Oui, c'est très intéressant, et pour ma part, cela recoupe assez bien la lecture que je fais de Schumpeter, et notamment ce qu'il dit de l'entrepreneur.
Or, aujourd'hui, un entrepreneur n'est plus récompensé pour son dynamisme, mais pour le rendement de son entreprise à court-terme, et c'est un vrai problème.
Je ne suis pas certain, en revanche, que Schumpeter ait anticipé ce problème spécifique.

Pour enfoncer le clou, Peyrelevade a dit à plusieurs reprises que Sarkozy se trompait en tentant d'actionner le levier de la demande : c'est celui de l'offre sur lequel il faut jouer, mais cela nécessite un travail de longue haleine.

Ah, qu'il est loin le Small Business Act à la française (il faut toutefois reconnaître à Lagarde que l'une des premières choses qu'elle a faites, c'est d'entamer des négociations avec l'UE pour transposer cette directive à l'échelle européenne, car apparemment, en droit européen, cela pose problème).

Écrit par : L'Hérétique | 20 novembre 2007

@L'Heretique : merci beaucoup pour ces explications complementaires, bien amicalement, virginie

Écrit par : virginie v | 20 novembre 2007

Peyrelevade compense bien des défections

à ce soir

Écrit par : philippe | 20 novembre 2007

C'est excellent et très pédagogique... merci pour cetet vidéo qui éclaire mes grosses lacunes économiques.

Biz.

Écrit par : Farid | 20 novembre 2007

@Philippe : à ce soir mon ami, je t'embrasse, virginie
@Farid : tu as raison de souligner le caractere pedagogique de cette video, merci à L'heretique et Quitterie de nous en faire profiter, bises, virginie

Écrit par : virginie v | 20 novembre 2007

Il n'y a pas à dire, quand on voit qu'il y a de tel talents au modem, on se dit bien que l'on a choisi le bon parti !

Merci de m'avoir fait connaitre la vidéos.

Écrit par : Matt | 20 novembre 2007

Il se présente quelque part aux municipales, Peyrelevade ?

Écrit par : jb | 21 novembre 2007

@JB : bonne question

Écrit par : virginie v | 21 novembre 2007

Il y a longtemps que j'aime bien Peyrelevade... Il me convainc une fois de plus ; je l'avais rencontré, à Londres, quand il était PDG du Crédit Lyonnais.

Tout à fait d'accord avec Matt !

Écrit par : Thomas Deslypper | 21 novembre 2007

Pendant ce temps la :

Impôt de bourse supprimé (voir lien ci-dessous) (perte de 280 millions d'euros)
http://www.lesechos.fr/patrimoine/bourse/300218174.htm


"Ce n'était pas un impôt important en volume, il n'aurait rapporté que 260 millions d'euros en 2008, les spéculateurs ayant depuis longtemps trouvé les moyens de le contourner. Mais la mesure est hautement symbolique de la volonté du gouvernement de sacrifier systématiquement la fiscalité sur l'autel de la compétition internationale, au profit des grandes fortunes"


180 millions d'euro (+ 1,3 milliard de franc) prévu de dépenser (au frais du contribuable) pendant la présidence Européenne de Sarko (le budget précédent était de 80 millions)


Christophe

Écrit par : chris | 23 novembre 2007

Votre écoeurement devant cette politique financière fait plaisir à voir. Et qu'est-ce que vous proposez, sans étatisme hein bien sûr!, pour contraindre ces puissances financières à laisser quelques miettes aux autres.
Car il parait que nous aà gauche nouss erions trop étatistes pour lutter contre cete mondialisation financière. On voudrait lutter contre mais sans l'état. Alors que proposez-vous de concret qui soit différent de notre vision?

A vous lire avec intérêt.
Amitié socialo-ségolèniste

Écrit par : asse42 | 23 novembre 2007

François Bayrou a trouvé "pas mal" l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy jeudi soir, jugeant ses "deux ou trois propositions principales convenables".

"Qu'il ait pour une fois évité de faire le père Noël, c'est plutôt un progrès", déclare le président du MoDem dans un entretien publié par Le Parisien.


"C'était pas mal. Un peu répétitif parfois: on commence à avoir l'impression d'avoir cent fois entendu les mêmes phrases", poursuit-il.

"Sur le fond, sur la question du pouvoir d'achat, je trouve ses deux ou trois propositions principales convenables. Que l'on puisse échanger des RTT contre du salaire ou que l'on négocie dans les branches et qu'on y incite, c'est bien. Que l'on favorise les primes dans les petites entreprises en les défiscalisant, c'est juste", estime le centriste.

Écrit par : Ax | 01 décembre 2007

@ Axel

Bayrou choisit l'opposition décontractée. Ses ex-lieutenants l'ont quitté pour aller chez Sarkophage mais Sarkophage, désormais, c'est le titanic : il y a plein de lumières, de la verroterie, l'orchestre joue, on danse, mais le bateau coule. C'est comme Chirac en 1995 : il a promis tout à tout le monde, et six mois après son élection, il referme la boîte à rêves avec un claquement sec : "je n'ai pas de baguette magique". Fermez le ban. Barre à droite toute.

Il n'est même plus utile de dénigrer Sarkophage : il le fait lui-même.

J'ai été frappé que le premier mot de Cavada chez Denisot jeudi soir soit "l'immigration". Cet homme se dit de centre gauche mais sa première préoccupation, c'est l'immigration.

En vérité, on ne voit que de l'opportunisme. Et c'est dommage car s'il avait joué le jeu, il pouvait amener le MoDem à organiser des primaires à Paris, ce qui aurait été diablement utile. Il a préféré les pantoufles.

J'aurais préféré que tu cites le passage de l'article du "Monde" où Quitterie est évoquée.

Écrit par : Hervé Torchet | 01 décembre 2007

"J'aurais préféré que tu cites le passage de l'article du "Monde" où Quitterie est évoquée."

:-)))

Je comptais sur toi pour le faire, elle a assez de fans sans moi désormais :)

Pour Bayrou, il vise clairement 2012, et ça me désole.

Dans son discours il dit :

" J’ai vu ce matin même, le livreur qui m’a dit : « Monsieur Bayrou, la prochaine fois, on va gagner, et quatre ans, c’est pas long ». "


Pour moi c'est le pire de la politique, la vieille politique : on ne pense qu'à gagner la prochaine élection, et on promet qu'on rasera gratis une fois élu.


La nouvelle politique, ça doit être de lever les yeux des élections, et travailler ici et maintenant.

Parce que contrairement à ce que dit le livreur de Bayrou, 4 ans c'est long.

Les chomeurs ne veulent pas attendre 4 ans. Les entrepreneurs ne veulent pas attendre 4 ans.

Pour moi la nouvelle politique c'est Fadela Amera : elle garde son franc parler, elle ne se couche pas, mais elle agit ici et maintenant, sans attendre la prochaine élection, même si le président élu n'est pas son président idéal.

J'aurais préféré que Quitterie soit une Fadela Amera, plutôt qu'une énième militante de parti n'ayant d'yeux que pour la prochaine élection, 2007 ou 2012.
On en a marre d'attendre 4 ans à faire de la tambouille de parti.

Écrit par : Ax | 01 décembre 2007

@ Axel

C'est justement pour sa volonté de modifier les pratiques politiques que j'approuve la démarche de Quitterie.

Écrit par : Hervé Torchet | 01 décembre 2007

@asse42

Je propose une troisième voie:l'économie sociale et solidaire faisant partie avec l'écologie du triptyque du développement durable. Pierre

Écrit par : ulm pierre | 01 décembre 2007