Nuit démocrate : communion mondiale de responsabilités partagées. : Des Jeunes libres de s'engager

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05 novembre 2008

Nuit démocrate : communion mondiale de responsabilités partagées.

Voilà, pour une fois, je vais garder au fond de moi ce que l'élection de BO déclenche chez moi. Trop de choses ont été dites. Dans tous les sens. Evitons l'overdose. Laissons le silence faire son travail et le discernement nécessaire. Je sais que nous avons tous (de quelque sensibilité que nous soyons) à en garder un immense sens de responsabilité partagée sur les années qui s'annoncent, et sur l'impact que nos décisions et actions individuelles et collectives auront.

Juste quelques images-souvenirs de cette soirée émouvante que nous avons co-organisée avec Childeric Müller, à la prod et à l'animation, Christophe Ginisty à l'animation web, live blogging, coordination des interventions de nombreux adhérents démocrates en Europe et dans le Monde (dont Martin Wittenberg en direct de Chicago), Delfyne Sémavoine à la logistique et coordination des bénévoles, et les jeunes démocrates. Super esprit, super pro, bravo !

Je tiens tout particulièrement à remercier l'équipe avec laquelle j'ai travaillé de 22heures à 4h30 du matin pour annoncer les résultats de l'élections aux US : Benjamin Sauzay, Alexandre Grünen, Guillaume Desrosiers et bien sûr Viriginie Votier. Un très grand bravo à tous les bénévoles (Johan, Youssef, Benoît, Amandine, Mip, Fabien, Franck, Pierrick, David, Nicolas, Nora, Stéphane, Marc, Valentin, François, Fred, Jérémie, Guillaume, DJ Hugo, François, celles et ceux que j'oublie...) qui se sont dévoués pour que 1500 personnes vivent ensemble cette soirée. On a croisé au Siège cette nuit là des adhérents démocrates, des sympathisants, des curieux, des adhérents du parti socialiste, des jeunes, plein de jeunes venus voir l'ambiance dans cette maison. Il était beau ce soir là, le visage des démocrates rue de l'Université. A 6 heures, au petit matin, nous étions sonnés, à la frontière du réel, heureux d'aller prendre quelques minutes de repos avant de repartir au boulot ou de reprendre le train pour sa province.

Voici une vidéo du début de la soirée filmée par Hervé Torchet :

La réaction de François Bayrou aux premiers résultats filmée par Paul du Mouvement démocrate :

François Bayrou vient rendre visite au staff des résultats (photos de KPM sur Flick'r)

D'autres photos glanées sur les site du Modem et évidemment de France démocrate avec les articles en live de Frédéric Lefevre Naré et d'Okan : n'hésitez pas à me signaler vos autres photos pour que je complète cette sélection que j'ai eue du mal à trouver.

23:27 | Lien permanent | Commentaires (43)

Commentaires

Merci à toute l'équipe pour cette soirée ! Childéric était très à l'aise, comme à la télé ! Quitterie tu as aussi très bien mené ton affaire dans la "salle" des résultats, entourée de ton staff branché ! Bref c'était super et le Modem a montré sa réactivité et sa modernité.
Je partage tes impressions sur la victoire de BO, l'immense tâche qui l'attend.... et qui nous attend bientôt !
A+

Écrit par : Jérôme Helbert | 05 novembre 2008

Une communion mémorable, un exercice à renouveler, un grand bravo à Quitterie dans le rôle de miss SVP. Un espoir partagé.

Écrit par : Hervé Torchet | 05 novembre 2008

Bravo à tous !
Ne pouvant assister à cette soirée car j'étais complètement vidé après un partiel (et surtout ayant CNN chez moi), j'ai pu dormir et faire une première analyse à froid sur les enjeux de l'après-élection de Barack Obama et surtout sur l'enjeu crucial de la majorité démocrate au Sénat.

A lire sur : http://ffunivers.blogspot.com

Écrit par : Orange pressé | 06 novembre 2008

J'aurais aimé vous passer le bonjour en direct mais Skype a fait des siennes :-)

En tout cas excellente initiative.

Écrit par : Claudio Pirrone | 06 novembre 2008

de rien!

Écrit par : GuillaumeD | 06 novembre 2008

@Guigui : on se trace sur le web grave ;-) bisous

hier notre salle de resultat c'etait ma place to be à moi

Super soirée Bravo!

Écrit par : virginie v | 06 novembre 2008

Merci à toi Quitterie ;) A bientôt !

Écrit par : Pierrick | 06 novembre 2008

Belle soirée / nuit, beau travail, bravo et merci !

Écrit par : FrédéricLN | 06 novembre 2008

Bravo à tous pour cette magnifique soirée, même sur internet, avec la concurrence des chaînes internationales, la nuit démocrate valait le déplacement! Pour ma part j'ai fini la soirée avec les démocrates italiens, assez sympa aussi ;-)

Écrit par : ArnaudH | 06 novembre 2008

Beaucoup de gens, beaucoup de jeunes, très pro tout ça. Un plaisir - pour préparer les prochaines occasions...

Écrit par : Pierre Guillery | 06 novembre 2008

@Pierre G : merci à Childé, Christophe, Delphine et Quitterie pour le coté super pro! à bientôt

@Arnaud H : tu nous raconteras! bises

@Pierrick : notre Barman prefere! le poste stratégique pour une soirée réussi! bisous

Écrit par : virginie v | 06 novembre 2008

@ Cher Barack.

Les plus grandes joies sont silencieuses.
L'intégration des minorités, cela m'interroge.
Je crépite d'énergie comme un mouvement perpétuel,oui entre la solidarité et la lutte.
Les plus grandes joies sont silencieuses.

Pierre

Écrit par : ulm pierre | 06 novembre 2008

Je ne sais pas si des MoDem étaient nombreux en direct des Etats-Unis. C'est le cas par exemple d'une adhérente du MoDem de Puteaux qui a pu sentir l'ambiance en direct d'Harlem : http://modem-de-puteaux.blogspot.com/

Écrit par : Alexis | 06 novembre 2008

Les Français jugent Obama plus proche de Sarkozy que des autres leaders politiques nationaux (Bayrou est 3e, après DSK):

http://www.sarkozynicolas.com/les-francais-jugent-obama-plus-proche-de-sarkozy-que-des-autres-leaders-politiques-nationaux/

Écrit par : Alliance OBAMA - SARKOZY | 06 novembre 2008

LeMonde.fr

OTAN, Afghanistan : la popularité de Barack Obama conforte les choix de Nicolas Sarkozy

“La figure de Barack Obama, par sa popularité extraordinaire en France, devrait faciliter, au plan politique intérieur, certains choix de M. Sarkozy en politique étrangère, escompte-t-on à l’Elysée. Cela pourrait être le cas pour le retour annoncé de la France dans les structures intégrées de l’OTAN, prévu à l’occasion du sommet marquant le soixantième anniversaire de l’Alliance atlantique, en avril 2009 à Strasbourg et Kehl (M. Obama sera présent).”

"Le ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, a annoncé, jeudi 6 novembre, qu’il se rendrait mardi 11 novembre à Washington pour présenter un document de l’Union européenne visant à refonder le partenariat transatlantique lors d’une conférence organisée par la Brookings Institution."

Écrit par : Alliance OBAMA - SARKOZY | 06 novembre 2008

Justement cela tombe bien je voulais parler de Kouchner depuis ce matin; une fois n'est pas coutume j'ai apprécié son analyse sur l'Afghanistan où il n'est pas aveugle au renforcement des troupes et surtout a perçu le basculement de disons 2 ou 3 brigades de l'Irak sur l'Afghanistan ce qui ferait au bas mot environ 12 000 soldats US soit environ je dis bien environ 2 à 5 régiments.Et bien monsieur Kouchner voit bien qu'il faut (ouf )prendre en compte une solution civile.
Voilà j'ai apprécié le réalisme de monsieur Kouchner et ceci pour la premiére fois.

Pierre

Écrit par : ulm pierre | 06 novembre 2008

Bon ! c'était bien la Nuit Démocrate.

Mais maintenant on attend le Jour Démocrate.

Et qu'il soit long comme au Pôle.

Dac-o-dac ?

Écrit par : Demy | 06 novembre 2008

"La bible du business américain, le Wall Street Journal, comme celle de l’élite mondialisée, The Economist, ont apporté un soutien clair et net au démocrate, appelant les électeurs à en “faire le prochain leader du monde libre”. "

"Son élection aura en effet pour conséquence immédiate de redonner aux valeurs occidentales une force sans précédent, n’en déplaise à tous les contestataires à poncho."

http://www.causeur.fr/obama-ou-l%E2%80%99occident-triomphant,1267

"Un peu partout dans le monde, les contempteurs de l’Occident se réjouissent ce matin de l’élection de Barack Obama. Altermondialistes, islamo-gauchistes, néo-guévaristes, révolutionnaires et autres non-alignés ont fiévreusement espéré cette victoire dont ils attendent un bouleversement majeur. Laissons-les à leur rêve éveillé : ils réaliseront bien assez tôt que le succès d’Obama pourrait marquer leur complète défaite idéologique.

Son élection aura en effet pour conséquence immédiate de redonner aux valeurs occidentales une force sans précédent, n’en déplaise à tous les contestataires à poncho. Voici un fils d’Africain, d’extraction modeste, qui par son talent et son travail aura d’abord terrassé la dynastie des Clinton, lors des primaires démocrates, avant de triompher du candidat du Great Old Party. Son slogan – Yes We Can ! – a pu sembler furieusement américain ? Il résumait en fait le programme de civilisation occidental : individualisme, méritocratie, démocratie. A tous ceux, et ils sont hélas très nombreux, qui reprochent aux Occidentaux de vouloir exporter des valeurs qu’ils ne respectent pas chez eux, la réponse est cinglante. Dans la grande compétition des civilisations, la charge de la preuve s’en trouvera désormais inversée : que Chavez, Hu Jintao et autres Ahmadinejad édifient donc des sociétés où chacun, femmes comprises, puisse rêver un tel destin ! Car depuis ce 4 novembre, la démonstration a été faite qu’aux Etats-Unis, censément racistes et ploutocratiques, un métis issu de la lower middle class peut devenir Président – et que nos valeurs s’appliquent réellement à tous.

Autre surprise prévisible : Obama à la Maison Blanche marquera non pas le ralentissement de l’américanisation de la planète, mais au contraire sa reprise – et probablement son accélération. L’état des lieux ne devrait pas nous tromper : c’est uniquement le leadership américain qui a été compromis par la présidence Bush, et non pas l’occidentalisation des peuples. Notre mode de vie (codes vestimentaires, alimentaires, culturels, etc.), comme nos principes (individualisme, habeas corpus, féminisme, etc.) n’ont jamais été autant désirés – leur acclimatation, en revanche, a été considérablement compliquée par le comportement de l’administration Bush. Il n’empêche : l’occidentalisation est un référendum, et un référendum quotidiennement gagné dans les esprits. Un verrou vient de sauter, qui freinait tout : l’antipathie. Le retour au multilatéralisme, la renonciation à la violence comme première option, le regret exprimé pour certains crimes (Guantanamo) ou mensonges (ADM en Irak) : autant de décisions annoncées par le nouveau président, qui contribueront à réconcilier le monde et l’Amérique. La tâche est immense, à en juger par l’impopularité des USA ? Soit. Mais l’attente aussi : si le monde vote Obama, c’est avant tout parce qu’il souhaite retrouver son leader, l’Amérique de Roosevelt et de Kennedy. De Caracas à Téhéran, il faudra s’y faire : dans le cœur des peuples, l’Amérique redevient aimable.

Au sein de nos sociétés, la victoire d’Obama devrait également porter un coup fatal au politiquement correct. Tablons, tout d’abord, sur la fin du chantage racial quand vient l’heure d’une quelconque sélection. De la Star Academy à la Maison Blanche, on nous sert depuis quelques années la même sinistre blague : si le candidat au profil le plus éloigné de l’archétype “majoritaire” (blanc, chrétien) n’est pas choisi, alors le soupçon plane aussitôt – le “minoritaire” a été écarté par racisme. Oseront-ils l’élire ?, titrait ainsi cette semaine Courrier International. Comprenez : si Obama n’avait pas gagné hier, c’est que le racisme, une fois encore, aurait prévalu. Eh bien, avec la désignation d’Obama, métis et fils d’un musulman kenyan, à la plus haute fonction mondiale, ce chantage deviendra inopérant : on choisit son chanteur préféré, son gardien de but, son DRH ou son président en fonction de ce qu’il inspire. Point barre. Voilà qui rendra l’air plus respirable. Et encouragera les bosseurs plutôt que les geignards.

Car il faudra se rendre à l’évidence et écouter enfin ce que Barack Obama ne cesse de proclamer : il n’est pas le candidat de l’affirmative action. Le jeune sénateur a été élu par la grâce de ses seuls mérites. Par la force de son seul acharnement. Et non à la faveur de quotas ou d’un quelconque favoritisme racial (il s’est du reste plu, tout au long de la campagne, à rappeler qu’il venait à peine de rembourser le crédit contracté jadis pour payer ses études). Le principe même de la discrimination « positive » devrait sérieusement en pâtir. On s’en félicitera, évidemment : d’une part, parce qu’elle discrimine certains individus en raison de leur origine (les Asiatiques et les Blancs, pour faire vite) ; d’autre part, parce qu’elle est humiliante pour les “minorités”, donc chaque diplômé ou dirigeant est désormais soupçonné d’avoir bénéficié d’une promotion ethnique ; enfin, parce que, ruinant le principe méritocratique, elle dévalue et méprise l’exemple des enfants de Vietnamiens, de Kabyles ou d’Indiens, qui ont prouvé que l’on pouvait parfaitement réussir avec un nom ou un visage “exotiques”. Si un “Noir” peut accéder au pouvoir suprême en Amérique, nul n’est besoin à Londres, Paris ou Miami de défavoriser certains étudiants ou employés au motif qu’ils auraient eu la fâcheuse idée de naître avec les yeux bridés ou les cheveux blonds. La présidence Obama est assurément la pire chose qui pouvait arriver au politiquement correct et à son cortège de généreuses idées réactionnaires.

Pour finir, la victoire de Barack Obama devrait également redorer le blason de l’économie de marché – ou du libéralisme économique, ou du capitalisme, à votre guise… Une des contradictions majeures du gauchisme, tel qu’il est professé tant par les liberals qu’au NPA de Besancenot, tient en effet à la certitude que le capitalisme est un système “prêt à tout” et, dans le même temps, un système profondément raciste. Or, si le capitalisme est prêt à tout, cela signifie en bonne logique qu’il est également prêt à mettre un métis à la tête de la patrie du dollar. C’est ce qu’il vient de faire. Et pas par mégarde ! Dès les primaires, Obama a levé des fonds considérables, soutenus par des milliardaires tels Warren Buffet et Bill Gates ; une fois investi, la manne financière est devenue torrentielle, pulvérisant tous les records et reléguant loin, très loin, le candidat supposé du Capital, John McCain. La bible du business américain, le Wall Street Journal, comme celle de l’élite mondialisée, The Economist, ont apporté un soutien clair et net au démocrate, appelant les électeurs à en “faire le prochain leader du monde libre”. Telle est la réalité : indifférent à ses origines, séduits par ses capacités, le business et ses médias ont fait du métis Obama leur candidat. La boucle est ainsi bouclée : le système politique, culturel et économique occidental, que l’on disait en perdition, vient de trouver son champion. Croyez-moi, la surprise Obama ne fait que commencer.
"

Écrit par : O | 06 novembre 2008

Félicitations pour cette Nuit Démocrate, qui restera doublement historique par son organisation et sa réussite et bien sûr par l'élection de Barack Obama, qui annonce de grands changements dans la manière de faire de la politique.

Amicalement.

Francis.

Écrit par : Francis | 06 novembre 2008

Salut,

Je suis très inquiet pour Barack Obama. Tellement de gens placent tant d'attentes dans ce type qu'ils seront forcément déçus.

Écrit par : politoblog | 06 novembre 2008

Obama est un agent de la CIA. Une opération de com pour refaire des Etats-Unis les maîtres du monde. Tout le monde tombe dans le panneau c'est fou !

Écrit par : Cassandre | 06 novembre 2008

"Obama aurait proposé à Robert Gates, l’actuel secrétaire à la Défense de George W. Bush de rester à la tête du Pentagone."

Robert Gates était directeur de la CIA sous Bush père.

Vous parlez d'un changement !

Obama est dans la main de la CIA.

Vous êtes complètement manipulés par un acteur.

Écrit par : Intelligence | 06 novembre 2008

Une chose est sûre: on ne devient pas président des Etats-Unis si l'on dérange réellement le système.

Il est trop facile de tuer un homme seul, pour des services gouvernementaux, le Pentagone, la CIA, les mafias au pouvoir...

Les mecs qui dérangent vraiment, ils sont éliminés. Voir ce que fait Poutine !

Si les services américains ont organisé le 11 septembre, ce qui suppose une énorme capacité d'action clandestine, ils pouvaient très facilement tuer Obama. En faisant porter le chapeau à des néo-nazis racistes.

Donc Obama ne dérange pas les puissants de ce monde, et il ne changera pas grand chose.

Il a été soutenu par une grande partie du système, y compris Sarkozy en France, par le Wall Street Journal, The Economist...

La campagne de John McCain a été sabotée par Palin qui lui a été imposée (voir l'affaire de son abus de pouvoir, dont comme par hasard elle a été innocentée le soir de l'élection, une fois que McCain était bien plombé.)

McCain avait cassé les pieds à Bush. Avec son idéalisme et son indépendance, il était peut-être considéré comme pire qu'Obama, moins contrôlable. Et pas capable de créer un vrai sentiment de sympathie mondiale pour les Etats-Unis.
Pas capable de développer l'OTAN.

Avec Obama au pouvoir, Sarkozy pourra facilement faire revenir la France dans l'OTAN.

Kouchner propose un plan d'alliance entre l'Europe et les Etats-Unis.

C'est clairement la défaite de tout le courant alter qui proposait un autre monde possible, loin du modèle américain, avec José Bové, Chavez...

Obama éclipse Chavez !

L'histoire dira si Obama est simplement un pantin inconscient d'être manipulé, ou un agent actif manipulateur qui a berné tout le monde pour le profit de la puissance américaine.

Écrit par : Avec José Bové | 07 novembre 2008

Je suis toujours autant sidérée de voir que certains ne peuvent jamais rien savourer dans la vie y compris ce rendez vous avec l'histoire. Ce formidable bond en avant!
Cette nuit était vraiment superbe! Je regrette juste (animation du live blogging oblige) de vous avoir juste croisé sans vraiment prendre le temps de "festoyer" comme il se doit.
Bises à tous et à bientôt.

Écrit par : Karima Bouache | 07 novembre 2008

Ceux qui critiquent Obama, en exigeant plus, sont simplement pris du syndrome du café du commerce d'après minuit quand ils ne savent pas s'arrêter de débattre pour finalement se battre.