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30 juillet 2008
Excellent : une petite République des blogs dans la torpeur de l'été pour celles et ceux qui ne sont pas (encore) ministres ;-)
Versac, notre connecteur à tous ne sera pas là cette fois là, mais bien présent en août.
Je me fais une joie de retrouver les quelques courageux encore en région parisienne pour clore cette première année de l'ère Sarkozy et fêter l'alternative qui doit nécessairement naître dans les mois qui viennent. AmiEs et adversaires politiques, à ce soir !
Découvrez Pink Martini!
12:12 | Lien permanent | Commentaires (13)
21 juillet 2008
Debout la jeunesse, debout la diversité ! Debout toutes les sensibilités !
On ne peut demander à la jeunesse, et de manière plus large, à la société civile de se passionner pour la politique, de s'inscrire sur les listes électorales, de s'engager au service de leur pays si on ne lui laisse pas de chance de participer aux prises de décisions !
Je leur en veux car la colère monte, tant chez les adhérents qui s'épuisent durant des 10aines d'années, que chez les citoyens qui ne comprennent pas pourquoi nos hémicycles ne ressemblent ni de près, ni de loin, au visage de la France d'aujourd'hui.
Les partis politiques français sont coupables, je dis bien coupables, d'empêcher le renouvellement des responsables publiques. La loi de modernisation des institutions présentée aujourd'hui en Congrès à Versailles par le Gouvernement en est l'illustration parfaite. Si les parlementaires ne scieront pas la branche sur laquelle ils sont assise, nos mouvements politiques s'engageront-ils de manière volontaire ?
A nous d'en construire les conditions, et de nous appliquer à nous-même sans attendre une hypothétique loi. C'est pourquoi, je fais la promotion de tout ce qui ira dans ce sens, que les messages viennent de gauche, du centre ou de la droite. Je regrette en revanche que cette question soit traitée de manière parfois trop partisane, trop géo localisée. Nous parlons de la même société civile, des compétences aussi diverses que complémentaires, par delà les frontières érigées entre nos quartiers, nos partis. Ce n'est que par l'engagement de tous que nous rendrons à la République son visage.
LA FRANCE EST EN NOUS
envoyé par fdouhane - paroles Bariza KHIARI et Fayçal DOUHAN par Weeta, Najat AZMY, Lynda BELHADI, Tony BELLITY, Nathalie BELLITY, Philippe BLANCHOT, Beatrice BUGUET, Jean Jacques DRET, Raphaëlle DUFOUR, Fayçal DOUHANE, Anne ESAMBERT, Moncef JENDOUBI, Bariza KHIARI, Hélène LEDOUX, Naza MOKHTARI, Séverine TESSIER, Louis Georges TIN, Jean Claude TCHIKAYA, Fatima YADANI, Ali ZAHI
14:59 | Lien permanent | Commentaires (230)
20 juillet 2008
Adieu Monsieur Geremek
Celles et ceux qui ont eu la chance de vous écouter et de vous rencontrer ne vous oublierons jamais. Vous nous manquerez dans cette époque troublée. Nous avions tellement besoin de vous, de vos lumières, de votre sagesse, de votre histoire. Merci de tout ce que nous avez donné à notre avenir. Nous ne faillirons pas à votre idéal, à votre rêve. Nous prolongerons votre combat. Nous la construirons l' Europe des citoyens. Promis.
Bronislav Geremek : « Après avoir fait l’Europe, nous devons faire maintenant les Européens. Sinon, nous risquons de la perdre ».
21:50 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (9)
17 juillet 2008
Réforme des Institutions : 200% avec François Bayrou
Merci au leader du Mouvement démocrate pour sa position très ferme sur la réforme des Institutions qu'il ne votera pas et dont il dénonce les tambouilles et petits arrangements de dernière minute
Haut et fort, nous affirmons qu'une réforme des institutions doit permettre une meilleure représentation nationale des sensibilités, des sexes, des âges, des cultures et professions. Notre démocratie est malade. Le Gouvernement ne se soucie guère de réconcilier les citoyens et leurs représentants.
Le mandat unique parlementaire était, entre autres, une des clés pour atteindre cet objectif. Raté. Pour cette fois.
Déclaration de François Bayrou reprise par AP :
Le président du Mouvement Démocrate François Bayrou a annoncé jeudi qu'il ne voterait pas la réforme des institutions lors du Congrès qui se réunit lundi à Versailles, la qualifiant de "faux-semblant"."J'étais prêt à voter un texte s'il avait touché à l'essentiel" a affirmé sur RTL François Bayrou, qui réclame une "loi électorale qui permette d'avoir au Parlement des voix indépendantes, et donc une partie des sièges attribuées non pas en fonction de l'investiture du parti de président ou du grand parti de l'opposition mais en fonction de la représentation des Français."
"On aurait dû mettre autour de la table les grands courants du pays en regardant ce que sont les problèmes fondamentaux, ces problèmes-là on n'y touche pas, et donc je ne voterais pas ce faux-semblant" a-t-il déclaré.
Le député des Pyrénées-Atlantiques a dénoncé "l'ambiance de marchandage" entretenue par le président de la République qui va "jusqu'à négocier lui-même pour obtenir quelques voix, des nominations, l'arrangement d'affaires, ou bien le fait qu'on pourra faire un groupe parlementaire avec 10 ou 12 ou 15 députés".
"Ce n'est plus des marchands de tapis devant lesquels on se trouve, c'est des marchands de paillassons", a-t-il ainsi déclaré au sujet des radicaux de gauche, ajoutant que "tout ça ce sont des marchandages qui ne sont pas dignes de ce que la réflexion institutionnelle devrait être". AP
16:36 | Lien permanent | Commentaires (35)
11 juillet 2008
Edvige : alerte citoyenne, mobilisation militante demandée, ils peuvent reculer si nous agissons.
Je compte sur vous. Vous êtes tous concernés. Tous ciblés. Tous visés. Je vous appelle donc à vous mobiliser.
pour obtenir l'abandon du fichier EDVIGE
instituant le fichage systématique et généralisé, dès l’âge de 13 ans, par la police des délinquants hypothétiques et des militants syndicaux, politiques, associatifs et religieux
17:00 Publié dans Contre riposte graduée, hadopi, Edvige... | Lien permanent | Commentaires (124)
10 juillet 2008
Dans le marasme actuel, François Bayrou donne son éclairage et sa vision pour un autre destin qui nécessite des alliances larges
Service public audiovisuel, réforme des institutions, Otan, 35 heures, armée, humiliation des corps intermédiaires, loi Hadopi et riposte graduée, Hortefeux, Chine et Dalaï Lama, Tricastin et nucléaire, etc... autant de sujets qui nous préoccupent, nous inquiètent sur les valeurs fondamentales de la France, nous font craindre l'abandon de notre modèle.
Il s'agit aujourd'hui de s'élever contre ces dérives du pouvoir, il s'agit surtout aujourd'hui de construire et de promouvoir l'alternative. Depuis un an, le Mouvement démocrate se construit, pierre à pierre, s'organise, se structure. Le Conseil national d'hier au Siège du Mouvement démocrate en est l'illustration.
Voici l'analyse de François Bayrou, aujourd'hui dans le Figaro, dont je partage l'analyse. Je soutiens sa définition de notre vocation :
LE FIGARO. - Quel jugement portez-vous sur la première année de la présidence Sarkozy ?
François BAYROU. - Le déficit français qui était en mai 2007 de 40 milliards d'euros - c'était déjà trop - est en mai 2008, après exactement un an de pouvoir, de 50 milliards. C'est très mauvais signe. Deuxièmement, jour après jour, on attaque tout ce qui charpentait solidement la société française, les fondations du modèle français. En une semaine, on a eu une série d'attaques blessantes contre l'armée, non seulement des mots très durs et offensants, mais une enquête de contre-espionnage pour identifier des officiers généraux qui ont livré au Figaro une analyse critique du livre blanc ! À ce compte, qu'aurait-on fait au colonel de Gaulle en 1938 ? Le lendemain même, l'annonce d'un plan sans précédent de prise de contrôle de l'audiovisuel, l'arrêt des recettes publicitaires dirigées vers les chaînes privées et la décision de nommer le président de France Télévisions par le pouvoir. Enfin, le ricanement humiliant pour les syndicats et les grévistes… Or l'armée, les syndicats, le service public, tout cela c'est la France, et c'est cela qu'on humilie. Dangereusement.
Pourquoi avoir voté contre la loi de modernisation économique ?
Pour les cadres, augmenter de dix-sept jours supplémentaires la norme de temps de travail, alors que le stress, la pression sont de plus en plus lourds, je suis sûr qu'ils le ressentent comme un choc et une déloyauté. En même temps, le manquement à la parole de l'État envers les partenaires sociaux est grave pour l'avenir. Je dis non.
Nicolas Sarkozy préside l'UE. Approuvez-vous ses priorités ?
Nicolas Sarkozy a dit samedi «Je suis président de la République et président de l'Europe». C'est un abus de langage et un enfantillage. A-t-on jamais entendu, dans les six mois précédents, Janez Janša, premier ministre de Slovénie, se présenter comme président de l'Europe ? Ce n'est pas Nicolas Sarkozy qui préside l'Union pour six mois, c'est la France qui a la responsabilité d'animer les institutions européennes. Les quatre «priorités», environnement, immigration, PAC et armement, méritent d'être soutenues, bien sûr. Mais la question principale, à mes yeux, c'est l'éloignement, la fracture, entre les peuples européens et les institutions, les peuples et les dirigeants.
Que devrait donc faire Nicolas Sarkozy ?
Répondre en termes simples et compréhensibles aux questions qui éloignent les peuples d'Europe de la gestion de l'Union. J'ai été frappé du référendum irlandais. Il y avait deux phrases qui revenaient tout le temps : la première, c'était «on n'y comprend rien»… Et c'est vrai que le traité prétendument simplifié est cent fois plus compliqué que le texte Giscard ! Et la seconde phrase, c'était «un petit pays comme nous, on va se faire bouffer…». Tous les peuples, y compris le nôtre, ont cette crainte de perdre leur identité et la maîtrise de leur destin. Or l'Europe, c'est le contraire, c'est fait pour protéger nos identités et notre destin.
Les Vingt-Sept ont donné lundi à Cannes leur feu vert au plan français sur l'immigration. N'est-ce pas une première victoire de la présidence française ?
Je vous le dirai quand nous aurons les textes définitifs, s'ils arrivent, à l'automne. En attendant, en France, le rapport Mazeaud porte un jugement incroyablement dur sur les politiques de quotas, qui n'ont réussi dans aucun pays dans le monde. Je suis pour une politique de prise en compte des immigrés qui s'intègrent, notamment par le travail.
L'UMP entend maintenir un référendum avant l'adhésion de la Turquie. Y êtes-vous toujours opposé ?
Vous savez les réserves que je n'ai cessé d'exprimer sur l'adhésion de la Turquie. Mais on ne peut pas, on ne doit pas, demander à un peuple de rejeter un autre peuple. Imaginez l'offense et donc les risques…
Que pensez-vous du projet d'Union pour la Méditerranée ?
Je ne sais pas ce que c'est ! Quarante-quatre pays devraient y être associés. Quand on voit les difficultés de l'Europe à 27, imaginez à 44 ! Pour l'instant, cela m'apparaît largement comme de la communication…
Êtes-vous choqué par la présence de Bachar el-Assad le 14 Juillet ?
Il y a trois semaines à peine, à Beyrouth, on assurait aux Libanais : «Les coupables des assassinats seront punis»… Et le 14 Juillet, à Paris, on va apporter au dirigeant syrien la reconnaissance internationale et son plein retour dans le jeu des nations ! Et cela sans qu'il y ait eu l'expression du moindre regret ou du moindre changement de ligne.
Approuvez-vous le fait que le président parle devant l'UMP ?
On ne devrait pas accepter cela. Le président de la République cesse d'être le président de tous les Français dès l'instant qu'il s'affiche comme chef de parti. Au lieu d'être l'homme de la nation, il se fait le porte-parole d'un clan. Il n'est plus la figure du rassemblement et de la réconciliation. Il devient une figure d'affrontement et de fracture. C'est la fonction elle-même qui est ainsi mise en cause.
Tout cela pourrait-il vous conduire à faire alliance avec le PS ?
Pour proposer au pays un destin autre que celui vers lequel on l'amène, il faudra des alliances larges. Les socialistes sont aujourd'hui devant de grandes difficultés de ligne et aussi de leadership. Donc, pour l'instant, ils s'enferment. Mais un jour, ils seront bien obligés d'ouvrir les yeux. Je pense aussi aux gaullistes. Ils vont vivre le choc du retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan et le renoncement de ce qui faisait, symboliquement, l'originalité de la France dans le monde. Un jour, tous ceux-là se ressaisiront. Ce n'est plus pour moi affaire de partis ou de courants. C'est la France qui est bouleversée dans sa vocation historique, et je connais notre pays : dans ses profondeurs, il ne l'acceptera pas. En tout cas, c'est mon engagement.
N'y a-t-il pas des réformes qui trouvent grâce à vos yeux ?
Bien sûr que si ! La décision sur le contrat de travail, l'intéressement, même les heures supplémentaires, tout ce que j'ai défendu hier, je l'approuve aujourd'hui.
Jean Arthuis a réuni vingt et un parlementaires centristes. Qu'est-ce que cela vous inspire ?
Quand on vit des moments historiques, et je crois que c'est le cas, il y a toujours des gens pour grenouiller, manœuvrer avec l'espoir de se retrouver dans les petits papiers du pouvoir. Et aller chercher comme égérie Christine Boutin, il fallait le trouver ! Ils se disent «centristes». Pour moi, je ne crois au centre que s'il est indépendant, courageux, rebelle, visionnaire. Toute autre attitude conduit à l'inexistence et au dérisoire.
Que pensez-vous des déclarations de Ségolène Royal qui fait un lien entre le cambriolage de son appartement et sa dénonciation du «clan Sarkozy» ?
Franchement, je n'en pense rien…
11:12 | Lien permanent | Commentaires (85)
08 juillet 2008
OPERATION MODERNISATION = NON CUMUL des mandats : suite... on joue les prolongations jusqu'au Congrès ;-)
3 lectures de blogs sur le sujet du non cumul que j'ai particulièrement appréciées : merci aux 3 auteurs.
Lire le billet-plaidoyer "Bonne nouvelle tout le monde est d'accord" écrit par Benjamin Sauzay.
Lire aussi le billet d'Aurélien sur le cumul dans le monde économique. "Ces cumulards du CAC 40". On y apprend quelques perles.
Enfin, une note de Christophe Dequin, adhérent de Haute Loire, 33 ans, agent de maîtrise dans l'industrie chimique :"Plus qu'une fracture générationelle, une autre façon de voir l'implication politique".
Je tiens à vous rappeler la demande de saisine de la Conférence nationale lancée par Werner à ce sujet.
07 juillet 2008
France : quel respect de la parole donnée ? FARC et anciennes brigades rouges en France, quelle cohérence ?
Je fus très étonnée par la solution proposée par Nicolas Sarkozy aux FARCS. En effet, je m'interroge sur la crédibilité de notre parole diplomatique. Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy propose aux FARC de renoncer aux armes et à l'enlèvement d'innocents et de les accueillir en France. Les FARCS sont-ils prêts à suivre les pas des Battisiti ou Petrella ? Alors que François Mitterrand avait offert à des membres des brigades rouges repentis l'accueil sur le sol français et la fin de poursuites, la France de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy s'est mise à les extrader : Persichetti, Battisti et Marina Petrella aujourd'hui.
Je demande donc une certaine cohérence au Gouvernement français et surtout le respect de la parole donnée à travers les époques et les changements de majorités et des responsables publiques.
11:33 | Lien permanent | Commentaires (64) | Tags : farc, brigades rouges, marina petrella, battisti
04 juillet 2008
Belle action festive Jeudi noir sur le 1% logement : pour une commission parlementaire et un transfert des fonds collectés au Ministère du logement
Une bien jolie action festive a été organisée hier après midi par Jeudi Noir, avant le grand rassemblement à l'hôtel de Ville de Paris pour Ingrid Betancourt. Comme à leur habitude, cotillons, mousseux, et surtout des propositions audibles et concrètes (voir ci-dessous).
Voici le résumé réalisé par l'AFP :
Une quarantaine de militants du collectif Jeudi Noir, qui dénonce la crise du logement, a brièvement occupé jeudi le siège social parisien d'Aliance, quatrième collecteur du "1% logement", mis en cause dans un document de la Cour des Comptes, aux cris de "rendez-nous notre 1%".
Ils ont fait irruption peu avant 16H00 au 20 rue de l'amiral Hamelin (XVIe), comme à leur habitude de manière festive, avec une sono, débouchant des bouteilles de champagne et lançant des confettis, a constaté un journaliste de l'AFP.
Ils ont jeté en l'air des billets de Monopoly, en criant : "Bravo au 1% logement qui jette par les fenêtres l'argent des salariés!", sous les yeux de la police et des employés.
Dans un document, le collectif dénonce "une mainmise patronale" sur le 1% logement, "censé être paritaire" entre Medef et syndicats, et "soutient la proposition 296 du rapport Attali prévoyant de +rebudgétiser+" ces 4 milliards d'euros annuels.
Un des animateurs de Jeudi Noir, Manuel Domergue, a précisé qu'il souhaitait le transfert de ces fonds à la mission "Ville et Logement" du ministère du Logement.
Jeudi Noir réclame en outre "une commission d'enquête parlementaire qui tire les conclusions des dérives du 1% logement", a indiqué un autre militant, Julien Bayou, citant un document de la Cour des Comptes rapporté par la presse, qui met en cause la gestion d'Aliance, notamment sur le coût de son siège social, dans un quartier huppé, et le choix de ses prestataires.
De négociations sont en cours entre les partenaires sociaux et la ministre du Logement Christine Boutin sur l'utilisation des fonds du 1% logement.
Les manifestants sont repartis moins d'une heure plus tard sans incident après avoir obtenu que trois d'entre eux soient reçus par la directrice générale d'Aliance, Françoise Pionneau.
"Je leur ai donné de la documentation concernant toutes les aides auxquelles ils avaient droit et dont ils n'étaient pas informés", a déclaré à l'AFP Mme Pionneau, assurant que la discussion avait porté exclusivement sur le logement des jeunes.
Article et vidéo sur le site de ledéclic.net
13:40 Publié dans Nouvelle société par une nouvelle conso | Lien permanent | Commentaires (35) | Tags : 1% logement, logement, précarité, aliance, jeudi noir, manuel domergue, julien bayou
03 juillet 2008
LIBRE, ELLE EST LIBRE !!!!!!!!!!!
Edit : 3h20 - Pas de mots cette nuit pour vous dire l'immense émotion en pensant à Elle, à ses enfants, sa famille. Avec celles et ceux qui pendant ces 6 années ont fait vivre l'espoir de sa libération, les membres du comité de soutien que je remercie du fond du coeur, nous avons vécu cette incroyable nuit.
RENDEZ-VOUS JEUDI 3 JUILLET A 17H SUR LE PARVIS DE L'HOTEL DE VILLE DE PARIS POUR FETER LA LIBERATION D'INGRID BETANCOURT ET DES 14 OTAGES !
Soyons nombreux, il faut savoir fêter les victoires comme nous avons été solidaires dans l'attente.
Incroyables moments aussi que sa prise de parole. Des images et des mots gravés à tout jamais. Sa dignité et sa combativité sont la plus belle récompense pour toutes celles et tous ceux par delà le monde qui ont tant espéré et manifesté pour sa libération.
Voici les mots qu'Ingrid adresse à la France.
03:23 Publié dans Ingrid Betancourt | Lien permanent | Commentaires (167)